Sunday, August 06, 2006

REUTERS RECONNAIT QUE SES PHOTOS DE BEYROUTH ONT ETE TRUQUEES

Last update - 22:43 06/08/2006
Reuters admits image of Beirut after IAF strike was doctored
By Assaf Uni, Haaretz Correspondent
The Reuters news agency admitted Sunday that it had published a doctored photograph of Beirut after an Israel Air Force strike on Saturday morning.In the original image, thin smoke can be seen rising over the Lebanese capital, but in the second photograph, thick, black smoke can be seen billowing over the buildings. Reuters said that it has suspended Adnan Hajj, the Lebanese photographer who submitted the image, until further notice. The organization also said that it is investigating the incident.
Claims that the photograph had been doctored were published on a number of blogs, which rushed to prove that the image had been retouched in using the PhotoShop program. All photographs taken for Reuters around the world are sent to Singapore, where they undergo certain editorial processes before being distributed to the agency's many clients. On Sunday, Reuters removed the retouched picture from its catalogue and replaced it with the original.


Médias2006-08-06 22:54:00
Reuters a admis qu'une fumée noircie et des immeubles ont été ajoutés numériquement sur la photo d'un incendie à Beyrouth. Ce cliché de Adnan Hajj était ainsi légendé : ''La fumée de bâtiments en train de brûler détruits lors d'un raid nocture aérien israélien sur la banlieue de Beyrouth le 5 août. De nombreux bâtiments ont été abattus lors de l'attaque''.Ce photographe est aussi connu pour son cliché du sauveteur au casque vert brandissant un enfant des décombres de l'immeuble effondré à Cana, le 30 juillet. Selon le site internet Little Green Footballs qui avec des blogs avait révélé l'affaire, le cliché originel de cet incendie à Beyrouth transmis par Reuters le 5 août est une photo de Ben Curtis de Associated Press.Reuters a diligenté une enquête et cessé sa collaboration avec Adnan Hajj.Le site internet HonestReporting interroge :- pourquoi un photographe de Reuters manipule-t-il les images pour pour rendre le dommage plus grave qu'il n'est ;- comment Reuters n'a-t-il pas découvert la fraude alors que des photographes amateurs et un blogger l'ont relevée facilement.Le journaliste Tom Gross a écrit l'article ''Les médias visent ses missiles, travailler pour l'ennemi'' dans ''National Review'' (2 août) : ''Nic Robertson, un correspondant de CNN a admis que son reportage anti-israélien de Beyrouth le 18 juillet sur les victimes au Liban a été mis en scène de A à Z par le Hezbollah, qui a ''des opérations médiatiques très sophistiquées. Quelques jours plus tards, Nic Robertson a reconnu sur CNN que le Hezbollah qui ''contrôle la situation'' avait encadré l'équipe de cameramen de CNN lui disant ''où et que filmer''. Sur son blog, Christopher Allbritton, collaborateur à ''Time '', mentinne : ''Vers le sud, le long de la côte, le Hezbollah lance des Katioucha, mais je ne dois pas trop en dire. Le Parti de D. a une copie du passeport de chaque journaliste et a déjà menacé l'un d'entre nous''. La BBC ne révèlerait jamais le caractère sélectif de ses reportages car cela amoindrirait sa campagne de diabolisation d'Israël et ceux qui la soutiennent. Une observation soigneuse des photos aériennes de Beyrouth montre que certains immeubles abritant des centres de commandos du Hezbollah dans les banlieues sud ont été visés. Le reste de la ville, hormis des sites stratégiques utilisés pour convoyer armes et hommes du Hezbollah dans et hors du Liban, est demeuré intact. Comparé aux autres conflits internationaux, le nombre de morts civils est faible. Les attaques médiatiques contre Israël ont mené à l'indulgence de certains médias à l'égard de l'antisémitisme''.

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