''Il manque dans les rushes présentés le 14 novembre par France 2 et Charles Enderlin à la Cour d'appel de Paris les scènes les plus embarrassantes pour eux, notamment la scène du jeune au cocktail Molotov avec une tache rouge au front'', a déclaré l'historien américain Richard Landes, lors du colloque Le mythe du crime rituel organisé par l'AIU (Alliance israélite universelle) à Paris. (Guysen.International.News)
Il a poursuivi : ''Aux Etats-Unis, la présidente de la Cour aurait dit : ''Comment osez-vous nous dire que vous avez enlevé les passages qui vous semblaient sans rapport ? C'est à nous de décider'' ... L'image al-Dura a sonné l'heure du djihad mondial dans le monde musulman. Avant, l'idée y était marginale''.
''L'accusation fausse de crime rituel (blood libel) à l'égard des juifs n'est pas née dans le monde arabe/musulman. Elle est apparue en 1144 à Norwich, en Angleterre'', a déclaré l'universitaire Raphaël Israéli, lors du colloque Le mythe du crime rituel organisé par l'AIU (Alliance israélite universelle) à Paris (Guysen.International.News)
Auteur du livre Poison, the Modern Manifestations of Blood Libel (Rowman & Littlefield), il a évoqué l'affaire de Damas, qui a marqué en 1840 la conjonction d'une accusation fausse de crime rituel et d'une allégation de complot juif. Il a cité des exemples contemporains de blood libel : La matza de Sion de Mustapha Tlass, ministre syrien de la Défense et auteur du massacre de 22 000 Syriens à Hama, des séries de TV diffusées par des chaînes musulmanes pour le Ramadan, l'affaire al-Dura, etc.
''Le temps est venu d'introduire l'histoire des Juifs réfugiés des pays arabes dans celle du Moyen-Orient d'où ils ont été expulsés depuis 60 ans'', a déclaré Irvin Cotler, ancien ministre canadien de la Justice et parlementaire, le 2 novembre. (Guysen.International.News)
Il a poursuivi : ''Ce n'est pas là un cas de justice reportée, mais de justice niée. Le déplacement de 850 000 juifs des pays arabes n'est pas un exode oublié mais un exode forcé''. L'organisation mondiale des juifs contraints de quitter les pays musulmans a évalué à 300 milliards de dollars le montant des biens qu'ils ont du abandonner et a réuni des titres de propriété notariés concernant des biens - en Irak, en Egypte, au Maroc - d'une superficie totale supérieure à 100 000 km², soit cinq fois celle de l'Etat juif. Elle souhaite que cette question soit incluse dans les négociations pour la paix menées par les Israéliens
La France, fidèle à sa tradition du pays des droits de l’homme, a invité le président vénézuélien Hugo Chávez, dans le cadre de son intervention en faveur de la libération d’Ingrid Betancourt et des otages détenus par les Farc. Nous saluons cette initiative éminemment humanitaire. Cependant, cette action donne au président Chávez l’occasion de tenter d’améliorer son image et distraire l’attention de l’opinion publique internationale.
La visite du président Chávez à Paris intervient douze jours avant le référendum sur une nouvelle Constitution, projet de réforme rédigé sans consultation et sans respecter la procédure établie par la Constitution en vigueur. Rejeté par la majorité des Vénézuéliens, et à l’intérieur même du camp du président, ce nouveau texte constitutionnel propose la réélection indéfinie du président. Il entend supprimer tout contrôle des pouvoirs de l’État sur les actions de l’éxécutif. Il constitue une véritable entorse aux principes fondamentaux de la démocratie et de l’État de droit. La tenue d’un référendum ne garantira pas l’expression d’un suffrage impartial car, depuis des années déjà, le Conseil national électoral, instance chargée de superviser les processus électoraux au Venezuela, est placé sous la coupe du gouvernement et de ses partisans. Quant au vote électronique, instauré dans le pays depuis 2004, il se prête à toutes les manipulations.
Nous tenons à rappeler : que pendant des années, le président Chávez a ignoré le sort des Vénézuéliens otages des Farc et ne s’est nullement soucié de leur famille. Que le Président se livre à une course aux armements que rien ne justifie, mettant en péril la paix et la sécurité du pays et de la région, au lieu d’utiliser les ressources pétrolières pour un développement durable du pays et résoudre les graves problèmes économiques et sociaux du peuple vénézuélien. Que le Président a créé une milice civile armée de plusieurs centaines de milliers d’hommes, dépassant en nombre les effectifs de la Force armée nationale, dans le but de contrôler la société vénézuélienne. Que l’instauration d’un État socialiste, dans le cadre du prétendu «socialisme du XXIe siècle», prévu dans la future Constitution «réformée», ne fera qu’entériner la violation des principes fondamentaux des droits de l’homme. Nous lançons un appel au gouvernement français et à l’ensemble des démocrates en France pour qu’ils prennent conscience de la dérive antidémocratique d’un régime qui, quoi qu’il en dise, est sur la voie du totalitarisme. Un chemin emprunté pour le plus grand malheur des peuples qui y sont soumis, comme c’est le cas de Cuba aujourd’hui.
Les Vénézuéliens ont vécu en démocratie depuis 1958 et font face aujourd’hui à la disparition de l’État de droit et du respect des libertés. Nous demandons aux démocrates du monde de ne pas laisser mourir l’une des plus anciennes démocraties d’Amérique latine !
quid-novi : Chavez indésirable en France. CHAVEZ ET KHADAFI ATTENDU EN DECEMBRE EN FRANCE3
Les dictateurs, petits ou grands, anciens ou nouveaux, d'extrême gauche ou d'extrême droite, n'ont rien à faire en France. Désormais il faut les déclarer « persona non-grata » en France. M. Sarkozy a promis une rupture totale avec les manigances et les duplicités du passé. Qu'il respecte ses engagements. Chavez ne doit pas fouler le sol français. Il y 25 ans l'arrivée de Générale Jaruzelski - un petit serviteur des soviétiques - avait provoquée le désaveu de Fabius face à Mitterrand. On attend que M. Kouchner fasse la même chose. La politique extérieure doit avoir un minimum de morale. La France doit se montrer solidaire avec l'Espagne que Chavez a menacé de punir pour avoir résisté aux excès du Fou. Donc, Chavez malvenu en France.
Les signataires par ordre alphabétique:
Il a poursuivi : ''Aux Etats-Unis, la présidente de la Cour aurait dit : ''Comment osez-vous nous dire que vous avez enlevé les passages qui vous semblaient sans rapport ? C'est à nous de décider'' ... L'image al-Dura a sonné l'heure du djihad mondial dans le monde musulman. Avant, l'idée y était marginale''.
''L'accusation fausse de crime rituel (blood libel) à l'égard des juifs n'est pas née dans le monde arabe/musulman. Elle est apparue en 1144 à Norwich, en Angleterre'', a déclaré l'universitaire Raphaël Israéli, lors du colloque Le mythe du crime rituel organisé par l'AIU (Alliance israélite universelle) à Paris (Guysen.International.News)
Auteur du livre Poison, the Modern Manifestations of Blood Libel (Rowman & Littlefield), il a évoqué l'affaire de Damas, qui a marqué en 1840 la conjonction d'une accusation fausse de crime rituel et d'une allégation de complot juif. Il a cité des exemples contemporains de blood libel : La matza de Sion de Mustapha Tlass, ministre syrien de la Défense et auteur du massacre de 22 000 Syriens à Hama, des séries de TV diffusées par des chaînes musulmanes pour le Ramadan, l'affaire al-Dura, etc.
''Le temps est venu d'introduire l'histoire des Juifs réfugiés des pays arabes dans celle du Moyen-Orient d'où ils ont été expulsés depuis 60 ans'', a déclaré Irvin Cotler, ancien ministre canadien de la Justice et parlementaire, le 2 novembre. (Guysen.International.News)
Il a poursuivi : ''Ce n'est pas là un cas de justice reportée, mais de justice niée. Le déplacement de 850 000 juifs des pays arabes n'est pas un exode oublié mais un exode forcé''. L'organisation mondiale des juifs contraints de quitter les pays musulmans a évalué à 300 milliards de dollars le montant des biens qu'ils ont du abandonner et a réuni des titres de propriété notariés concernant des biens - en Irak, en Egypte, au Maroc - d'une superficie totale supérieure à 100 000 km², soit cinq fois celle de l'Etat juif. Elle souhaite que cette question soit incluse dans les négociations pour la paix menées par les Israéliens
La France, fidèle à sa tradition du pays des droits de l’homme, a invité le président vénézuélien Hugo Chávez, dans le cadre de son intervention en faveur de la libération d’Ingrid Betancourt et des otages détenus par les Farc. Nous saluons cette initiative éminemment humanitaire. Cependant, cette action donne au président Chávez l’occasion de tenter d’améliorer son image et distraire l’attention de l’opinion publique internationale.
La visite du président Chávez à Paris intervient douze jours avant le référendum sur une nouvelle Constitution, projet de réforme rédigé sans consultation et sans respecter la procédure établie par la Constitution en vigueur. Rejeté par la majorité des Vénézuéliens, et à l’intérieur même du camp du président, ce nouveau texte constitutionnel propose la réélection indéfinie du président. Il entend supprimer tout contrôle des pouvoirs de l’État sur les actions de l’éxécutif. Il constitue une véritable entorse aux principes fondamentaux de la démocratie et de l’État de droit. La tenue d’un référendum ne garantira pas l’expression d’un suffrage impartial car, depuis des années déjà, le Conseil national électoral, instance chargée de superviser les processus électoraux au Venezuela, est placé sous la coupe du gouvernement et de ses partisans. Quant au vote électronique, instauré dans le pays depuis 2004, il se prête à toutes les manipulations.
Nous tenons à rappeler : que pendant des années, le président Chávez a ignoré le sort des Vénézuéliens otages des Farc et ne s’est nullement soucié de leur famille. Que le Président se livre à une course aux armements que rien ne justifie, mettant en péril la paix et la sécurité du pays et de la région, au lieu d’utiliser les ressources pétrolières pour un développement durable du pays et résoudre les graves problèmes économiques et sociaux du peuple vénézuélien. Que le Président a créé une milice civile armée de plusieurs centaines de milliers d’hommes, dépassant en nombre les effectifs de la Force armée nationale, dans le but de contrôler la société vénézuélienne. Que l’instauration d’un État socialiste, dans le cadre du prétendu «socialisme du XXIe siècle», prévu dans la future Constitution «réformée», ne fera qu’entériner la violation des principes fondamentaux des droits de l’homme. Nous lançons un appel au gouvernement français et à l’ensemble des démocrates en France pour qu’ils prennent conscience de la dérive antidémocratique d’un régime qui, quoi qu’il en dise, est sur la voie du totalitarisme. Un chemin emprunté pour le plus grand malheur des peuples qui y sont soumis, comme c’est le cas de Cuba aujourd’hui.
Les Vénézuéliens ont vécu en démocratie depuis 1958 et font face aujourd’hui à la disparition de l’État de droit et du respect des libertés. Nous demandons aux démocrates du monde de ne pas laisser mourir l’une des plus anciennes démocraties d’Amérique latine !
quid-novi : Chavez indésirable en France. CHAVEZ ET KHADAFI ATTENDU EN DECEMBRE EN FRANCE3
Les dictateurs, petits ou grands, anciens ou nouveaux, d'extrême gauche ou d'extrême droite, n'ont rien à faire en France. Désormais il faut les déclarer « persona non-grata » en France. M. Sarkozy a promis une rupture totale avec les manigances et les duplicités du passé. Qu'il respecte ses engagements. Chavez ne doit pas fouler le sol français. Il y 25 ans l'arrivée de Générale Jaruzelski - un petit serviteur des soviétiques - avait provoquée le désaveu de Fabius face à Mitterrand. On attend que M. Kouchner fasse la même chose. La politique extérieure doit avoir un minimum de morale. La France doit se montrer solidaire avec l'Espagne que Chavez a menacé de punir pour avoir résisté aux excès du Fou. Donc, Chavez malvenu en France.
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