L’Agence Télégraphique juive communique :
lundi 20 avril 2009
« Une commémoration de l’Holocauste est organisée par plusieurs groupes, avec la présence du prix Nobel Elie Wiesel, le philosophe français Bernard Henri Lévy, et bien d’autres. » L’événement sera expressément apolitique, sans slogans ni pancartes a déclaré Sabine Simkhovitch-Dreyfus, vice présidente de la Fédération suisse des Communautés juives.
Les organisateurs ont également choisi un lieu hautement symbolique pour la cérémonie : la grand-place située devant l’entrée du Palais de l’ONU.
“Il est possible que certaines personnes la perçoivent comme une politisation de la Shoah” dit Simkhovitch-Dreyfus. “Mais ce n’est certainement pas notre intention. Au contraire, nous voulons attirer l’attention de tous les délégués sur ce message universel. Nous pensons que la Shoah est l’une des clefs, sinon « la » clef universelle du message anti-raciste.”
Par ailleurs, une quarantaine de groupes pour la défense des droits humains soutiendront un “Sommet de Genève pour les Droits humains, la tolérance et la démocratie”, avec la participation de dissidents Birmans, Cubains, Iraniens et Egyptiens ; des groupes juifs vont également tenir une “Conférence contre le Racisme, la Discrimination et la Persécution”, considérée par certains comme une ”alternative virtuelle” à la Conférence de Durban II. Un ensemble de groupes juifs et Israéliens manifesteront avec le mot d’ordre ”Israël veut la paix”, en compagnie de Nathan Sharansky, le professeur de Harvard Alan Dershowitz et des Bédouins éthiopiens et Israéliens.
“Si l’ONU reflétait réellement les valeurs morales et universelles, c’est ce types d’événements que son assemblée organiserait” déclarait Gerald Steinberg, directeur exécutif de l’Observatoire des ONG, basé à Jérusalem. “Dans ce cas, ce ne serait pas à Israël de démontrer qu’il n’est pas un Etat raciste”.
lundi 20 avril 2009
« Une commémoration de l’Holocauste est organisée par plusieurs groupes, avec la présence du prix Nobel Elie Wiesel, le philosophe français Bernard Henri Lévy, et bien d’autres. » L’événement sera expressément apolitique, sans slogans ni pancartes a déclaré Sabine Simkhovitch-Dreyfus, vice présidente de la Fédération suisse des Communautés juives.
Les organisateurs ont également choisi un lieu hautement symbolique pour la cérémonie : la grand-place située devant l’entrée du Palais de l’ONU.
“Il est possible que certaines personnes la perçoivent comme une politisation de la Shoah” dit Simkhovitch-Dreyfus. “Mais ce n’est certainement pas notre intention. Au contraire, nous voulons attirer l’attention de tous les délégués sur ce message universel. Nous pensons que la Shoah est l’une des clefs, sinon « la » clef universelle du message anti-raciste.”
Par ailleurs, une quarantaine de groupes pour la défense des droits humains soutiendront un “Sommet de Genève pour les Droits humains, la tolérance et la démocratie”, avec la participation de dissidents Birmans, Cubains, Iraniens et Egyptiens ; des groupes juifs vont également tenir une “Conférence contre le Racisme, la Discrimination et la Persécution”, considérée par certains comme une ”alternative virtuelle” à la Conférence de Durban II. Un ensemble de groupes juifs et Israéliens manifesteront avec le mot d’ordre ”Israël veut la paix”, en compagnie de Nathan Sharansky, le professeur de Harvard Alan Dershowitz et des Bédouins éthiopiens et Israéliens.
“Si l’ONU reflétait réellement les valeurs morales et universelles, c’est ce types d’événements que son assemblée organiserait” déclarait Gerald Steinberg, directeur exécutif de l’Observatoire des ONG, basé à Jérusalem. “Dans ce cas, ce ne serait pas à Israël de démontrer qu’il n’est pas un Etat raciste”.
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