Thursday, November 22, 2007

''C'est par assimilation avec la légende du ''crime rituel juif'' que s'est opérée l'exploitation internationale, par toutes les propagandes ''antisionistes '', du prétendu assassinat par l'armée israélienne au cours d'une fusillade au carrefour de Netzarim, le 30 septembre 2000 du jeune palestinien Mohammed al-Dura'', écrit Pierre-André Taguieff, directeur de recherche au CNRS, dans un article publié par la revue Le meilleur des mondes. (Guysen.International.News)
Il poursuit : ''Cette image, présentée par Charles Enderlin comme la preuve de la mort de l'enfant, a été diffusée et rediffusée par tous les médias de la planète, véhiculant et renforçant le stéréotype du Juif criminel et pervers, assassin d'enfants. Les effets d'incitation au meurtre de la diffusion de ces images ont été immédiats : le 12 octobre 2000, aux cris de ''Vengeance pour le sang de Mohammed al-Dura ! '', des Palestiniens déchaînés ont mis en pièces les corps de deux réservistes israéliens. Philippe Karsenty, qui dirige une agence de notation des médias, Media Ratings, [a] qualifié de ''supercherie'' sur la base d'une ''série de scènes jouées'' le reportage du correspondant permanent en Israël [de France 2], Charles Enderlin, responsable du commentaire des images. Il a affirmé qu'il s'agissait d'un ''faux reportage'' et d'une ''imposture médiatique'', bref d'un reportage truqué''.

0 Comments:

Post a Comment

<< Home