CHAVEZ REVE DE DEVENIR "ARABE"
Venezuela. Chavez rêve de devenir « arabe » !Le 24/07/2006 à 7 h 00 - par Sarah Vuibert
En septembre 2006, le Venezuela pourrait entrer dans la Ligue arabe. Ce n’est pas une blague. Pour contourner l’« endiguement » américain, Chavez cherche de nouveaux partenaires qui pourraient lui ouvrir les portes d’un siège de membre non permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU.
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Le Venezuela adhérera très prochainement à… la Ligue arabe, nous informe très sérieusement Libération. La signature entre Amr Moussa, le secrétaire général et Hugo Chavez, devrait avoir lieu officiellement en septembre 2006. Le Venezuela ne serait évidemment que « membre observateur » car mis à part le pétrole, dont il est le cinquième exportateur mondial, il semble partager peu de choses avec les pays arabes.
Petit retour en arrière : c'est le 22 mars 1945, au Caire, que l’Egypte, alors totalement opposée au projet des Britanniques de fédération des Etats arabes sous son contrôle, proposa ce contre-projet de Ligue arabe. Cette dernière est aujourd’hui composée de 22 membres : l’Egypte, l’Irak, le Liban, l’Arabie Saoudite, la Syrie, l’actuelle Jordanie et le Yémen en sont les sept membres fondateurs. Par la suite, des pays tels que la Libye en 1953, le Soudan en 1956, le Maroc et la Tunisie en 1958, le Koweït en 1961, l’Algérie en 1962, les Emirats arabes unis en 1971, ou encore la Palestine en 1976, s’y sont ajoutés. Sise au Caire depuis 1990, après avoir émigré à Tunis en 1979, cette organisation est la seule institution à représenter les intérêts contradictoires de la « Nation arabe ».
A première vue, on voit donc mal le rapport entre ces pays et ceux du cône sud-américain… Pourtant, les 10 et 11 mai 2005, le premier sommet Amérique du Sud – Pays arabes était organisé à Brasilia, en réunissant 34 pays des deux blocs. On s’y était prononcé en faveur de l’octroi au Pérou et au Qatar d’un siège non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU en 2006-2007. Chavez lorgne donc du côté des pays arabes, non seulement pour diversifier les échanges commerciaux du Venezuela, mais aussi, espère-t-il, pour que ses nouveaux partenaires pèsent de leur poids relatif en faveur d’une candidature vénézuélienne à un siège de membre non permanent à l’Onu (En octobre l’Argentine laisse une place vacante).
Dans sa volonté effrénée de narguer la Maison Blanche, et d’obtenir des soutiens diplomatiques pour renforcer sa position sur la scène internationale, le président vénézuélien va débuter une « tournée mondiale » d’environ deux semaines : il se rendra ainsi à Téhéran pour rencontrer son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad et aborder la question du nucléaire. Mais le « dictatour » ne finit pas là. Chavez partira ensuite en Russie, au Bélarus, en Chine, au Vietnam, en Corée du Nord, pour terminer par la Syrie. Inch’ Allah…
En septembre 2006, le Venezuela pourrait entrer dans la Ligue arabe. Ce n’est pas une blague. Pour contourner l’« endiguement » américain, Chavez cherche de nouveaux partenaires qui pourraient lui ouvrir les portes d’un siège de membre non permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU.
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Le Venezuela adhérera très prochainement à… la Ligue arabe, nous informe très sérieusement Libération. La signature entre Amr Moussa, le secrétaire général et Hugo Chavez, devrait avoir lieu officiellement en septembre 2006. Le Venezuela ne serait évidemment que « membre observateur » car mis à part le pétrole, dont il est le cinquième exportateur mondial, il semble partager peu de choses avec les pays arabes.
Petit retour en arrière : c'est le 22 mars 1945, au Caire, que l’Egypte, alors totalement opposée au projet des Britanniques de fédération des Etats arabes sous son contrôle, proposa ce contre-projet de Ligue arabe. Cette dernière est aujourd’hui composée de 22 membres : l’Egypte, l’Irak, le Liban, l’Arabie Saoudite, la Syrie, l’actuelle Jordanie et le Yémen en sont les sept membres fondateurs. Par la suite, des pays tels que la Libye en 1953, le Soudan en 1956, le Maroc et la Tunisie en 1958, le Koweït en 1961, l’Algérie en 1962, les Emirats arabes unis en 1971, ou encore la Palestine en 1976, s’y sont ajoutés. Sise au Caire depuis 1990, après avoir émigré à Tunis en 1979, cette organisation est la seule institution à représenter les intérêts contradictoires de la « Nation arabe ».
A première vue, on voit donc mal le rapport entre ces pays et ceux du cône sud-américain… Pourtant, les 10 et 11 mai 2005, le premier sommet Amérique du Sud – Pays arabes était organisé à Brasilia, en réunissant 34 pays des deux blocs. On s’y était prononcé en faveur de l’octroi au Pérou et au Qatar d’un siège non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU en 2006-2007. Chavez lorgne donc du côté des pays arabes, non seulement pour diversifier les échanges commerciaux du Venezuela, mais aussi, espère-t-il, pour que ses nouveaux partenaires pèsent de leur poids relatif en faveur d’une candidature vénézuélienne à un siège de membre non permanent à l’Onu (En octobre l’Argentine laisse une place vacante).
Dans sa volonté effrénée de narguer la Maison Blanche, et d’obtenir des soutiens diplomatiques pour renforcer sa position sur la scène internationale, le président vénézuélien va débuter une « tournée mondiale » d’environ deux semaines : il se rendra ainsi à Téhéran pour rencontrer son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad et aborder la question du nucléaire. Mais le « dictatour » ne finit pas là. Chavez partira ensuite en Russie, au Bélarus, en Chine, au Vietnam, en Corée du Nord, pour terminer par la Syrie. Inch’ Allah…
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