Bruno Gollnisch prend la défense de Raymond Barre
ANTISEMITISME
Bruno Gollnisch prend
la défense de Raymond Barre
NOUVELOBS.COM | 09.03.2007 | 15:12
243 réactions
Le numéro deux du FN estime que l'ancien Premier ministre "n'est pas antisémite (...), pas davantage" que lui-même.
Bruno Gollnisch
(Reuters)
Le numéro deux du Front national, Bruno Gollnisch, a estimé jeudi 8 mars que Raymond Barre, critiqué pour ses propos sur "le lobby juif", "n'est pas antisémite (...), pas davantage" que lui-même.
Raymond Barre "n'est certainement pas antisémite, sa vie personnelle en témoigne, pas davantage que je ne le suis", a déclaré devant la presse Bruno Gollnisch, qui a été condamné pour négationnisme en janvier à 3 mois de prison avec sursis pour des propos controversés sur les chambres à gaz tenus devant la presse en 2004.
"Certains groupes de pressions et associations s'ingénient à fabriquer des antisémites là où il n'y en a pas", a-t-il ajouté, regrettant que l'ancien Premier ministre soit "réduit à une déclaration malheureuse faite il y a 25 ans".
Raymond Barre est victime, "comme M. Le Pen, et comme moi-même", de "tentatives de diabolisation", a regretté Bruno Gollnisch.
"Lobby juif"
Bruno Gollnisch, qui a été conseiller municipal quand Raymond Barre était maire de Lyon, a enfin salué le "courage" de Raymond Barre, qui a décrit l'élu frontiste comme "quelqu'un de bien" dans un entretien à France Culture.
Raymond Barre a scandalisé la communauté juive et les associations de défense des droits de l'Homme pour avoir défendu Maurice Papon et Bruno Gollnisch dans une interview diffusée le 1er mars, et s'en être pris à un "lobby juif capable de monter des opérations indignes" et avait défendu Maurice Papon et Bruno Gollnisch.
Revenant sur ses propos mardi sur RTL, il avait de nouveau évoqué une "clique" qui tente, selon lui, depuis 1979, de le "faire passer pour antisémite".
Bruno Gollnisch prend
la défense de Raymond Barre
NOUVELOBS.COM | 09.03.2007 | 15:12
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Le numéro deux du FN estime que l'ancien Premier ministre "n'est pas antisémite (...), pas davantage" que lui-même.
Bruno Gollnisch
(Reuters)
Le numéro deux du Front national, Bruno Gollnisch, a estimé jeudi 8 mars que Raymond Barre, critiqué pour ses propos sur "le lobby juif", "n'est pas antisémite (...), pas davantage" que lui-même.
Raymond Barre "n'est certainement pas antisémite, sa vie personnelle en témoigne, pas davantage que je ne le suis", a déclaré devant la presse Bruno Gollnisch, qui a été condamné pour négationnisme en janvier à 3 mois de prison avec sursis pour des propos controversés sur les chambres à gaz tenus devant la presse en 2004.
"Certains groupes de pressions et associations s'ingénient à fabriquer des antisémites là où il n'y en a pas", a-t-il ajouté, regrettant que l'ancien Premier ministre soit "réduit à une déclaration malheureuse faite il y a 25 ans".
Raymond Barre est victime, "comme M. Le Pen, et comme moi-même", de "tentatives de diabolisation", a regretté Bruno Gollnisch.
"Lobby juif"
Bruno Gollnisch, qui a été conseiller municipal quand Raymond Barre était maire de Lyon, a enfin salué le "courage" de Raymond Barre, qui a décrit l'élu frontiste comme "quelqu'un de bien" dans un entretien à France Culture.
Raymond Barre a scandalisé la communauté juive et les associations de défense des droits de l'Homme pour avoir défendu Maurice Papon et Bruno Gollnisch dans une interview diffusée le 1er mars, et s'en être pris à un "lobby juif capable de monter des opérations indignes" et avait défendu Maurice Papon et Bruno Gollnisch.
Revenant sur ses propos mardi sur RTL, il avait de nouveau évoqué une "clique" qui tente, selon lui, depuis 1979, de le "faire passer pour antisémite".
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