eux jours après l'annonce du cessez-le-feu, les armes se sont tues mais la guerre médiatique continue. Le ministère israélien de l'intégration et de l'immigration a annoncé, dimanche 18 janvier, la création d'une "armée de blogueurs". La mission de cette nouvelle brigade du Net : occuper le terrain en inondant de commentaires les "sites anti-sionistes" qui pullulent sur la Toile.
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Mis en place en coopération avec le ministère des affaires étrangères, le programme s'adresse avant tout aux Israéliens parlant couramment anglais, français, espagnol ou allemand. Pour entrer dans le rang, il suffit d'adresser un mail au ministère. Les volontaires sont immédiatement enregistrés selon leur langue et dirigés par l'administration vers les sites "problématiques".
La première recrue est une Française de 31 ans. Installée en Israël depuis 1993, Sandrine Pitousi habite à Kfar Maimon, à cinq kilomètres de la bande de Gaza. "J'ai entendu parler du projet à la radio et j'ai décidé de participer parce que je vis au cœur du conflit", raconte-t-elle à Haaretz.
A en croire le ministère de l'intégration, Internet est devenu un nouveau "champ de bataille pour les relations publiques". "J'appelle tous les nouveaux immigrants à nous rejoindre pour aider à améliorer l'image de notre pays", explique Erez Halfon, directeur général du ministère, au Jerusalem Post. A ce jour, seules cinq personnes ont répondu présent.
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