Photo d'Ilan Halimi : l'audience d'appel réclamée par Choc fixée à lundi 16h
Il y a 5 jours
PARIS (AFP) — L'audience d'appel dans l'affaire de la publication controversée d'une photo d'Ilan Halimi ce mois-ci à la Une du mensuel Choc aura lieu lundi à 16H00 devant la cour d'appel de Paris, a-t-on appris vendredi en début d'après-midi auprès de la cour.
Les avocats de Choc ont fait appel vendredi de l'interdiction du mensuel prononcée mercredi soir par le juge des référés du tribunal de grande instance (TGI) de Paris.
Mercredi soir ce juge avait estimé que le cliché, montrant le jeune juif avec un pistolet sur la tempe, le visage masqué par un scotch gris, les poignets entravés, était "de nature à heurter" et que sa publication "ne s'imposait pas".
Il avait fixé une astreinte de 200 euros due par l'éditeur pour tout exemplaire du magazine encore en vente ce vendredi à 14H00.
Le sujet est d'autant plus sensible que les ravisseurs et tortionnaires présumés d'Ilan Halimi, mort en 2006 après trois semaines de séquestration en région parisienne, sont actuellement jugés à huis clos devant les assises des mineurs
Il y a 5 jours
PARIS (AFP) — L'audience d'appel dans l'affaire de la publication controversée d'une photo d'Ilan Halimi ce mois-ci à la Une du mensuel Choc aura lieu lundi à 16H00 devant la cour d'appel de Paris, a-t-on appris vendredi en début d'après-midi auprès de la cour.
Les avocats de Choc ont fait appel vendredi de l'interdiction du mensuel prononcée mercredi soir par le juge des référés du tribunal de grande instance (TGI) de Paris.
Mercredi soir ce juge avait estimé que le cliché, montrant le jeune juif avec un pistolet sur la tempe, le visage masqué par un scotch gris, les poignets entravés, était "de nature à heurter" et que sa publication "ne s'imposait pas".
Il avait fixé une astreinte de 200 euros due par l'éditeur pour tout exemplaire du magazine encore en vente ce vendredi à 14H00.
Le sujet est d'autant plus sensible que les ravisseurs et tortionnaires présumés d'Ilan Halimi, mort en 2006 après trois semaines de séquestration en région parisienne, sont actuellement jugés à huis clos devant les assises des mineurs
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