121 - UN PROCHE DE LE PEN TRAITE DE NEO-NAZI PERD SON PROCES CONTRE LE JOURNAL THE GUARDIAN
DIFFAMATION
Un proche de Le Penperd contre le Guardian
Le chef de cabinet de Jean-Marie Le Pen a perdu son procès en diffamation à l'encontre du Guardian qui le qualifiait de "néo-nazi".
L e chef de cabinet de Jean-Marie Le Pen, leader du Front national (FN), Olivier Martinelli, a perdu à Paris son procès contre le quotidien britannique The Guardian dans lequel il avait été qualifié de "néo-nazi", a-t-on appris lundi 16 janvier auprès du tribunal correctionnel.Le 17 octobre 2002, le quotidien britannique dont une des éditions est diffusée en France avait publié un article dans lequel étaient rapportés les propos d'un membre du gouvernement travailliste, Peter Hain, qui s'indignait de la participation d'un conservateur à un débat au cours duquel Olivier Martinelli devait également prendre la parole.L'article se terminait ainsi : "Mais cette nuit, le parti travailliste a appelé les conservateurs à boycotter le débat. Peter Hain, le ministre de l'Europe, a déclaré : 'Partager une même tribune avec un néo-nazi est absolument ahurissant'".Pas de fait précisOlivier Martinelli a estimé que le qualificatif "néo-nazi" était diffamatoire à son encontre et a donc déposé plainte contre le quotidien et les auteurs de l'article mais la 17e chambre du tribunal l'a débouté.
La seule expression "néo-nazi" "ne renferme en elle-même l'allégation d'aucun fait particulier et précis", explique le jugement de la 17e chambre du tribunal correctionnel, présidée par Anne-Marie Sauteraud.Même si ce qualificatif fait référence à l'idéologie politique hitlérienne et que "cette doctrine est considérée comme pouvant encore à présent inspirer des actions criminelles à caractère raciste, le propos litigieux ne contient aucune imputation de faits précis à l'encontre de la personne physique visée", selon le jugement.
Un proche de Le Penperd contre le Guardian
Le chef de cabinet de Jean-Marie Le Pen a perdu son procès en diffamation à l'encontre du Guardian qui le qualifiait de "néo-nazi".
L e chef de cabinet de Jean-Marie Le Pen, leader du Front national (FN), Olivier Martinelli, a perdu à Paris son procès contre le quotidien britannique The Guardian dans lequel il avait été qualifié de "néo-nazi", a-t-on appris lundi 16 janvier auprès du tribunal correctionnel.Le 17 octobre 2002, le quotidien britannique dont une des éditions est diffusée en France avait publié un article dans lequel étaient rapportés les propos d'un membre du gouvernement travailliste, Peter Hain, qui s'indignait de la participation d'un conservateur à un débat au cours duquel Olivier Martinelli devait également prendre la parole.L'article se terminait ainsi : "Mais cette nuit, le parti travailliste a appelé les conservateurs à boycotter le débat. Peter Hain, le ministre de l'Europe, a déclaré : 'Partager une même tribune avec un néo-nazi est absolument ahurissant'".Pas de fait précisOlivier Martinelli a estimé que le qualificatif "néo-nazi" était diffamatoire à son encontre et a donc déposé plainte contre le quotidien et les auteurs de l'article mais la 17e chambre du tribunal l'a débouté.
La seule expression "néo-nazi" "ne renferme en elle-même l'allégation d'aucun fait particulier et précis", explique le jugement de la 17e chambre du tribunal correctionnel, présidée par Anne-Marie Sauteraud.Même si ce qualificatif fait référence à l'idéologie politique hitlérienne et que "cette doctrine est considérée comme pouvant encore à présent inspirer des actions criminelles à caractère raciste, le propos litigieux ne contient aucune imputation de faits précis à l'encontre de la personne physique visée", selon le jugement.
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