Thursday, May 18, 2006

LE GOUVERNEMENT ITALIEN VIRE A LA PROPAGANDE PRO-PALESTINIENNE

Le 18 Mai 2006 Yediot AharonotFin de la lune de miel entre Israël et l'Italie : D'Alema est pro-palestinien
Avec la nomination de Massimo d'Alema comme nouveau ministre des affaires étrangères du cabinet Prodi, l'histoire d'amour entre Israël et l'Italie risque de n'être plus qu'un lointain souvenir, selon des sources officielles à Jérusalem. Connu pour ses positions pro palestiniennes, cet ancien premier ministre avait déclaré en début d'année à propos du Hamas, « que les attaques terroristes font partie de la résistance palestinienne à l'occupation israélienne ». En 1999, lors d'un voyage à Jérusalem, durant lequel on lui avait souhaité « Bienvenue en Israël », il aurait rétorqué « Bienvenue en Palestine ». Dans son entourage, on indique que d'Alema entend modifier la politique pro israélienne de l'Italie, « afin d'Gris foncé.



Après cinq années de gouvernement Berlusconi, Romano Prodi avait promis, en campagne électorale, de «ramener le sérieux au pouvoir». C'est fait, mais dans une tonalité gris foncé. Les barons des grands partis ont pratiquement tous été embarqués. En particulier, le président d'honneur des démocrates de gauche (DS), Massimo D'Alema, qui obtient la vice-présidence, ainsi que le leader de la Marguerite (centre gauche catholique), Francesco Rutelli. Le premier, soupçonné d'avoir été à l'origine de la chute du premier cabinet Prodi en 1998 pour lui succéder à la présidence du Conseil, occupera aussi le fauteuil de ministre des Affaires étrangères. En dépit des craintes exprimées par une partie de la communauté juive à la suite de ses positions très critiques sur Israël et ses ouvertures en direction du Hamas. «Ce n'est pas un nouveau nazisme, avait-il notamment affirmé. Nous devons comprendre les raisons de la haine.» Pour sa part, Francesco Rutelli obtient également le ministère des Biens culturels. Au total, la Marguerite décroche sept maroquins, dont la Défense et l'Instruction publique (au soulagement du Vatican), soit deux de moins que les DS.Gris foncé. Après cinq années de gouvernement Berlusconi, Romano Prodi avait promis, en campagne électorale, de «ramener le sérieux au pouvoir». C'est fait, mais dans une tonalité gris foncé. Les barons des grands partis ont pratiquement tous été embarqués. En particulier, le président d'honneur des démocrates de gauche (DS), Massimo D'Alema, qui obtient la vice-présidence, ainsi que le leader de la Marguerite (centre gauche catholique), Francesco Rutelli. Le premier, soupçonné d'avoir été à l'origine de la chute du premier cabinet Prodi en 1998 pour lui succéder à la présidence du Conseil, occupera aussi le fauteuil de ministre des Affaires étrangères. En dépit des craintes exprimées par une partie de la communauté juive à la suite de ses positions très critiques sur Israël et ses ouvertures en direction du Hamas. «Ce n'est pas un nouveau nazisme, avait-il notamment affirmé. Nous devons comprendre les raisons de la haine.» Pour sa part, Francesco Rutelli obtient également le ministère des Biens culturels. Au total, la Marguerite décroche sept maroquins, dont la Défense et l'Instruction publique (au soulagement du Vatican), soit deux de moins que les DS.

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