TANDIS QU'A PARIS UNE PLACE PORTE LE NOM DE THEORORE HERZL
NOUS A MARSEILLE NOUS SUPPORTONS TOUJOURS L INFAMIE DE LA RUE ALEXIS CARREL PRECURSEUR DES THEORIES SCIENTIFIQUES DES NAZIS POUR SES TRAVAUX SUR L'EUGENISME......
Une place Theodor Herzl dans le Marais
Le Conseil d’arrondissement du 3e qui s’est tenu le 9 mai a décidé à l’unanimité de rendre hommage au père du sionisme en attribuant la dénomination « Place Theodor Herzl » à l’espace situé à l’intersection des rues de Turbigo et Réaumur.Théodor Herzl incarne à la fois le combat contre l’antisémitisme et celui pour la reconnaissance du droit du peuple Juif à fonder librement un Etat.Né en Hongrie, le 2 mai 1860, il couvre dans les années 1890 l’affaire Dreyfus en temps que correspondant étranger et en vient à la conclusion que l’émancipation juive ne peut se faire totalement sans la création d’un Etat juif, d’où le nom de l’ouvrage qui le rend célèbre et participe à diffuser sa pensée en 1896.Il y développe sa visée : « Il faudrait aux Juifs un Etat, dans un pays dont ils auraient la souveraineté. Il suffirait aux nations d’accorder aux masses juives malheureuses, un petit coin de terre, que le judaïsme aurait la charge d’organiser et de faire prospérer » peut-on lire. Selon lui, « le sionisme a pour but de créer, pour le peuple juif en Palestine, un foyer garanti par le droit public ».Il fonde le Congrès sioniste en 1897 et recherche activement les appuis politiques et financiers pour mener à bien son projet. Il ne verra pas son rêve aboutir puisque qu’il meurt le 3 juillet 1904 en Autriche. La déclaration Balfour du 2 novembre 1917 accomplira ce dessein. Source : Mairie 3e
Une place Theodor Herzl dans le Marais
Le Conseil d’arrondissement du 3e qui s’est tenu le 9 mai a décidé à l’unanimité de rendre hommage au père du sionisme en attribuant la dénomination « Place Theodor Herzl » à l’espace situé à l’intersection des rues de Turbigo et Réaumur.Théodor Herzl incarne à la fois le combat contre l’antisémitisme et celui pour la reconnaissance du droit du peuple Juif à fonder librement un Etat.Né en Hongrie, le 2 mai 1860, il couvre dans les années 1890 l’affaire Dreyfus en temps que correspondant étranger et en vient à la conclusion que l’émancipation juive ne peut se faire totalement sans la création d’un Etat juif, d’où le nom de l’ouvrage qui le rend célèbre et participe à diffuser sa pensée en 1896.Il y développe sa visée : « Il faudrait aux Juifs un Etat, dans un pays dont ils auraient la souveraineté. Il suffirait aux nations d’accorder aux masses juives malheureuses, un petit coin de terre, que le judaïsme aurait la charge d’organiser et de faire prospérer » peut-on lire. Selon lui, « le sionisme a pour but de créer, pour le peuple juif en Palestine, un foyer garanti par le droit public ».Il fonde le Congrès sioniste en 1897 et recherche activement les appuis politiques et financiers pour mener à bien son projet. Il ne verra pas son rêve aboutir puisque qu’il meurt le 3 juillet 1904 en Autriche. La déclaration Balfour du 2 novembre 1917 accomplira ce dessein. Source : Mairie 3e
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