JIMMY CARTER ISRAEL ET L APARTHEID
mardi 14 novembre 2006
Simon & Schuster
Jimmy Carter, Israël et l'apartheid
Richard Hétu
La Presse
C’est aujourd’hui que l’ancien président Jimmy Carter lance son livre controversé sur le Moyen-Orient. Intitulé Palestine : Peace Not Apartheid, l’ouvrage de 216 pages a déjà été dénoncé par des supporters d’Israël au sein même du Parti démocrate. Dans un communiqué émis fin octobre, la prochaine présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, s’est élevée contre la suggestion selon laquelle «le peuple juif supporterait en Israël ou ailleurs un gouvernement qui institutionnalise l’oppression sur une base ethnique».
Dans son livre, Carter écrit que les politiques actuelles d’Israël dans les territoires palestiniens constituent un «système d’apartheid» où un État hébreu «totalement dominant» réprime la violence «en privant les Palestiniens de leurs droits humains fondamentaux».Il va sans dire que Carter s’écarte de l’opinion défendue par les chrétiens évangéliques de son pays auxquels le New York Times fait allusion aujourd'hui dans la deuxième partie de sa série sur les relations entre les États-Unis et Israël. Pour ces chrétiens, l’appui inconditionnel à l’État hébreu fait partie de la «politique étrangère de Dieu».
Simon & Schuster
Jimmy Carter, Israël et l'apartheid
Richard Hétu
La Presse
C’est aujourd’hui que l’ancien président Jimmy Carter lance son livre controversé sur le Moyen-Orient. Intitulé Palestine : Peace Not Apartheid, l’ouvrage de 216 pages a déjà été dénoncé par des supporters d’Israël au sein même du Parti démocrate. Dans un communiqué émis fin octobre, la prochaine présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, s’est élevée contre la suggestion selon laquelle «le peuple juif supporterait en Israël ou ailleurs un gouvernement qui institutionnalise l’oppression sur une base ethnique».
Dans son livre, Carter écrit que les politiques actuelles d’Israël dans les territoires palestiniens constituent un «système d’apartheid» où un État hébreu «totalement dominant» réprime la violence «en privant les Palestiniens de leurs droits humains fondamentaux».Il va sans dire que Carter s’écarte de l’opinion défendue par les chrétiens évangéliques de son pays auxquels le New York Times fait allusion aujourd'hui dans la deuxième partie de sa série sur les relations entre les États-Unis et Israël. Pour ces chrétiens, l’appui inconditionnel à l’État hébreu fait partie de la «politique étrangère de Dieu».
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