Nicolas Sarkozy : refuser le négationnisme
05/03/07
- - Thème: Négationnisme
Répondant au bimensuel France-Arménie du 1er au 15 mars 2007, Nicolas Sarkozy a souligné que les génocides juifs, arméniens et rwandais « ne portent pas seulement atteinte à ceux qui en sont les victimes directes, mais sont une offense à l’humanité toute entière » ajoutant que « le travail de mémoire d’un peuple ne peut d’avoir d’autre origine que nationale ». Néanmoins le candidat à l’élection présidentielle s’interroge sur le bien-fondé de « lois mémorielles » car selon lui « la loi n’est pas l’instrument le plus adapté lorsqu’il s’agit pour la parlement d’adopter des textes dont la portée est avant tout symbolique, comme lorsqu’il a reconnu l’existence du Génocide arménien en janvier 2001 ». Le président de L’UMP a dénoncé par ailleurs, le danger pour l’Histoire « de laisser manipuler et nier des faits avérés et des évidences historiques » précisant qu’il pensait « aux dangers des propos négationnistes proférés lors de la Conférence de Téhéran » concluant sur cette question que « ce qui est important, c’est de refuser le négationnisme d’Etat, a fortiori quand il devient un produit d’exportation ».
- - Thème: Négationnisme
Répondant au bimensuel France-Arménie du 1er au 15 mars 2007, Nicolas Sarkozy a souligné que les génocides juifs, arméniens et rwandais « ne portent pas seulement atteinte à ceux qui en sont les victimes directes, mais sont une offense à l’humanité toute entière » ajoutant que « le travail de mémoire d’un peuple ne peut d’avoir d’autre origine que nationale ». Néanmoins le candidat à l’élection présidentielle s’interroge sur le bien-fondé de « lois mémorielles » car selon lui « la loi n’est pas l’instrument le plus adapté lorsqu’il s’agit pour la parlement d’adopter des textes dont la portée est avant tout symbolique, comme lorsqu’il a reconnu l’existence du Génocide arménien en janvier 2001 ». Le président de L’UMP a dénoncé par ailleurs, le danger pour l’Histoire « de laisser manipuler et nier des faits avérés et des évidences historiques » précisant qu’il pensait « aux dangers des propos négationnistes proférés lors de la Conférence de Téhéran » concluant sur cette question que « ce qui est important, c’est de refuser le négationnisme d’Etat, a fortiori quand il devient un produit d’exportation ».
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