Monday, June 23, 2008

En Israël où il arrive le 22 juin pour une visite d’Etat, Nicolas Sarkozy pourrait faire de bien curieuses découvertes, tout comme l’importante délégation d’industriels menés par le Medef qui l’accompagnera.

Catherine Dupeyron du journal Les Echos : “Si l’on en croit les propos tenus devant un groupe d’anciens HEC en Israël, début juin, l’étude du Talmud est l’une des clefs du succès de la high-tech israélienne. Une conclusion inattendue pour les esprits, plutôt cartésiens, du Groupe de développement international de l’école de commerce, qui compte 44 chefs d’entreprise, avocats, financiers ou cadres dirigeants de grands groupes comme Schneider Electric Industries…

Voilà un an que leur visite a été décidée, avec un objectif apparemment simple : « Comprendre les clefs du succès d’une économie qui, en 2007, a connu une croissance de plus de 5 % », comme le rappelle le président du comité d’organisation de cette mission, Salomon Mizrahi (HEC 1966). Or, lors de la soirée de clôture, réunissant des acteurs de premier plan de la high-tech israélienne, la vraie surprise est venue du professeur Joseph Bodenheimer. Ce scientifique en électro-optique, président du Collège de technologie de Jérusalem, a suivi un cursus associant études d’ingénierie et études bibliques. Un cursus qui lui a permis de rappeler qu’en Israël l’« enseignement est, entre autres, basé sur la tradition juive, qui constitue une approche très ésotérique des problèmes, conciliant différentes logiques sur un seul sujet ». Ainsi, le Talmud, commentaire sur la loi juive, contient une quarantaine de termes pour le seul mot « question ». Autant dire qu’il est le livre du questionnement par excellence, y compris sur des sujets farfelus ou improbables.

C’est ainsi que les rabbins, au IIe ou IIIe siècle, ont réfléchi aux lois applicables « à une tour volant dans l’air », ce qui est devenu les avions, ou bien au foetus transféré dans l’utérus d’une autre femme, autrement dit les mères porteuses. Résultat, « les scientifiques israéliens ont souvent des solutions à des problèmes qui n’existent pas encore »… affirme Nava Swersky Sofer, présidente de Yissum, société de transfert de technologies de l’université hébraïque de Jérusalem. Une situation qui, comme on peut l’imaginer, n’est pas toujours simple à gérer. Mais ouvre la voie à de nouvelles formes d’innovations technologiques”.—

Copyrights CATHERINE DUPEYRON (À JÉRUSALEM)

Source: Les Echos - CATHERINE DUPEYRON (Copyrights










Al-Dura : Jean Daniel pour la création d’une commission d’enquête
23/06/08




- - Thème: Médias




Dans son éditorial au Nouvel Observateur du 19 juin, Jean Daniel se dit pour la création d’une commission d’enquête indépendante pour établir la vérité sur les circonstances de la mort du petit Mohammed Al-Dura en septembre 2000. « Cette affaire a fait tant de mal et pendant si longtemps du fait de l’exploitation incroyable qui en a été faite dans le monde arabo-musulman qu’il est absolument nécessaire de confier à des enquêteurs uniquement soucieux des faits le soin d’établir une version définitive de ce drame », explique t-il.
Dans son édition du mois de juin, l’Arche revient sur la décision de la cour d’appel de Paris qui a débouté Charles Enderlin et France 2 de leur action contre Philippe Karsenty.













ACTUPJF N° 21



Objet : COMMUNIQUE UPJF 11/06/08
Importance : Haute













Union des Patrons et des Professionnels Juifs de France









11 juin 2008



COMMUNIQUE





L’UPJF apporte un soutien sans réserve à Guy Millière dans sa défense contre l’attaque en diffamation dont il fait l’objet de la part de Monsieur Jonathan Myara qui se fait curieusement appeler Johann WEIZS (aurait-il honte de ses origines sépharades ?).



Cette personne se présentant, sous un faux patronyme, comme « journaliste », a trompé et abusé la confiance de plusieurs personnes afin de pouvoir écrire son livre « OPA sur les juifs de France » qui donne de la communauté une image tendancieuse et péjorative.



Au contraire Monsieur Guy Millière est un ami de longue date de la communauté juive et d’Israël et n’a jamais hésité à prendre sa meilleure plume pour défendre leurs intérêts, et lutter contre l’antisémitisme.



L’UPJF s’étonne et s’insurge également contre le fait que Monsieur Johan Weisz/ Myara soit représenté par Me Patrick Klugman, membre du comité exécutif national du CRIJF, dont les états de services sont rappelés dans l’article de Clément Weill-Raynal ci-dessous, sans que le CRIJF n’ai eu de réaction face au choix des clients de Me Klugman qui a toujours la possibilité d’invoquer sa clause de conscience.



Eu égard à la confusion des genres et au conflit d’intérêt évident, l’UPJF considère qu’il est inadmissible qu’un membre du CRIJF agisse en sa qualité d’Avocat contre un ami de longue date de la communauté juive et d’Israël.





Claude Barouch.







POUR QUI ROULE PATRICK KLUGMAN ?


(on rappellera qu'il a assuré la défense de Myara, qui voit en Israël une "multinationale" qui s'achète des Juifs en période d'antisémitisme en France, à coups d'OPA, contre Guy Millère ou qu'il a accusé un papa et grand-père d'enfants Juifs, Jean-Martie Cavada, d'être complice de propos antisémites).



"Le VRP multicartes de l’antiracisme fait preuve, selon les cas, d’une capacité d’indignation à géométrie variable…" (Cl. W.-R.)



Ancien président de l’UEJF, vice-président de SOS Racisme, entré récemment aux instances dirigeantes du CRIF et aujourd’hui candidat socialiste aux municipales, Patrick Klugman s’est fait connaître par certains « coups d’éclats ».



C’est notamment lui qui a organisé la scandaleuse expulsion du député Philippe de Villiers de la manifestation unitaire en hommage à Ilan Halimi, en mars 2006.



Que reprochait Patrick Klugman à Philippe de Villiers ? Rien, si ce n’est de ne pas faire partie de son clan, c'est-à-dire de la gauche bien pensante. Raison suffisante, à ses yeux, pour instruire un procès en sorcellerie à l’encontre du député vendéen.



Philippe de Villiers est le fils d’un ancien résistant déporté. Rien dans ses propos et dans ses actions ne peut le faire suspecter du moindre racisme et du moindre antisémitisme.



En revanche, le commissaire politique Patrick Klugman fait preuve de la plus grande indulgence lorsque le racisme et l’antisémitisme se manifestent au sein de sa propre famille politique.



Plus encore, il n’hésite pas à user des méthodes les plus déloyales pour prendre la défense des extrémistes pro-palestiniens lorsque ceux-ci dérapent.



Ainsi, Patrick Klugman, alors qu’il était président de l’UEJF, n’a pas hésité à écrire une lettre de soutien à Edwy Plenel, directeur, à l’époque, du journal Le Monde, qui avait publié en juin 2002 une tribune du sociologue Edgar Morin, d’une violence inouïe à l’encontre des « Juifs ».



Edgar Morin a d’ailleurs été condamné pour diffamation raciale par la cour d’Appel de Versailles, qui a reconnu le caractère antisémite de cette tribune.



Non content de soutenir Edwy Plenel et Edgar Morin, Patrick Klugman a également, en tant que président de l’UEJF, indiqué, dans cette même lettre, que son organisation se désistait de toute poursuite contre le sociologue, figure emblématique de la gauche intellectuelle.



Cette lettre - d’une rare obséquiosité - a été versée au dossier par la défense d’Edgar Morin, ce qui a largement contribué à obtenir l’absolution du sociologue devant la cour de cassation.



A la même époque, alors que l’antisémitisme faisait rage dans les médias et en banlieue, le président de l’UEJF, Patrick Klugman, s’est également désisté des actions judiciaires lancées contre le journaliste Daniel Mermet, qui avait diffusé des messages haineux contre « les juifs » sur l’antenne de France Inter.



Aujourd’hui, n° 2 sur la liste du Parti Socialiste dans le 17e arrondissement de Paris, Patrick Klugman ne craint pas non plus de cohabiter avec son ami Julien Boucher (en 4e position), un militant de longue date, très apprécié par l’extrême gauche pro-palestinienne…



Pour qui roule Patrick Klugman ?



En tout cas, certainement pas pour la communauté juive, ni pour Israël…





© Clément Weill-Raynal *



* Journaliste à France-Télévisions. Président de l'Association des Journalistes Juifs de la Presse Française.



(Source : juifs.org )





LETTRE OUVERTE DE GUY MILLIERE A RICHARD PRASQUIER, PRESIDENT DU CRIF (08 JUIN 2008)



Monsieur le Président,


Je connais votre travail pour Yad Vashem et au service de la Fondation pour la mémoire de la Shoah. Je connais aussi vos engagements contre le racisme et l’antisémitisme et votre attachement à Israël. Je ne sais si vous vous définissez plutôt de gauche ou de droite, et cela, de toutes façons, m’intéresse infiniment peu. Ce qui m’intéresse chez un homme est l’étoffe dont il est fait, et il est évident pour moi que la vôtre est cousue d’intégrité et de courage.


J’ai, par delà vous-même, de la sympathie pour ce qu'accomplit et ce qu’entreprend le Crif, dont je lis les lettres d’information et dont je visite régulièrement le site. Le rôle qui vous incombe est celui de rassembleur ; un rôle difficile s’il en est, que vous remplissez avec une efficacité remarquable. Face aux querelles et aux divisions, rien de ce qui relève du combat contre le racisme et l’antisémitisme ne paraît vous être étranger. Je me sens naturellement proche de ces postulats dans mon combat quotidien contre ceux qui entendent relativiser la Shoah ou diaboliser Israël. Aucune de ces inquiétudes ne m’est indifférente.



Je ne suis pas Juif, M. le Président. Mon adhésion à ce qui constitue les valeurs fondamentales du judaïsme pourrait me conduire à le devenir, mais je ne suis pas croyant et je ne veux surtout pas tricher. Je suis économiquement, politiquement et philosophiquement un libéral, au sens lockéen du terme : donc un défenseur indéfectible de la liberté des êtres humains dans tous les domaines, qu’il s’agisse de la liberté de parler, d’aller et venir, de créer, d’entreprendre, de décider de leur destin, de croire ou de ne pas croire. Je me retrouve aussi dans une phrase récemment prononcée par Elie Wiesel, qui disait ceci : « D’abord vient la connaissance, de la connaissance vient l’engagement, de l’engagement découle une philosophie éthique ».


Depuis ma position de libéral, je me trouve depuis longtemps confronté à la question des valeurs fondatrices de l’idée de liberté, et celles-ci me semblent indissociables des idées de responsabilité, de transcendance et de Loi : d’où mon intérêt pour le judaïsme et pour ce qu’il porte en lui, à mes yeux, d’infiniment précieux.



Je me suis trouvé aussi confronté à la persistance du mal et de la haine, à la réalité des totalitarismes, à la monstruosité absolue du nazisme et du grand Crime commis au cœur de l’Europe, voici soixante cinq années. J’ai pris très à cœur et au sérieux la formule employée au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale : « Plus jamais ça ! ».



Je me suis ainsi rapproché du peuple juif, me suis imprégné de son histoire et en ai conçu une ligne de conduite qui influence mon existence. J’ai noué des liens intellectuels et affectifs avec Israël et les Israéliens. J’ai beaucoup écrit, des articles et des livres, en français et en anglais. J’ai donné des conférences, suis devenu membre de France-Israël, dont je fais partie désormais du comité directeur.


Souvent, M. le Président, j’ai à subir les conséquences de mon choix : des courriers d’antisémites divers débordants d’insultes, d’imprécations et de propos m’accusant d’être un « Juif honteux » ou un « Juif caché ». Quand je suis la cible d’interpellations directes, je me contente de dire que, si j’étais Juif, je serais très fier de l’être. J’ai reçu aussi des courriers et des menaces de mort très précis et explicites venant de tenants de l’islam radical.



Le Mrap m’a incriminé, à l’époque où il a mené campagne contre ce qu’il appelle le « racisme islamophobe ». Je défends le droit de critiquer l’islam radical, tout en expliquant en quoi l’islam radical n’était pas une race et en affirmant ma position sur ce point, qu’on pourrait résumer par quelques mots de mon ami Daniel Pipes : « L’islam radical est le problème, l’islam modéré est la solution ».



J’ai apporté, de toutes les façons possibles, mon soutien à des victimes d’actes antisémites, et n’ai fait là que me conduire en être humain digne de ce nom, c’est pour cela que je n’en avais, jusqu’à présent, jamais parlé, et c’est pour cela, qu’à partir de cette lettre, je n’en parlerai plus.



J’ai constaté les dégâts que causèrent les incriminations du Mrap, aussi fallacieuse furent-elles, et ma réputation en a souffert. J’ai été victime d’une discrimination professionnelle : subir une discrimination parce qu’on pense que vous êtes Juif, parce que vous refusez l’antisémitisme, parce que vous défendez Israël, parce que vous critiquez l’islam radical, parce que vous vous indignez du terrorisme, ou, parce que vous êtes libéral et que vous n’êtes, en supplément, pas anti-américain, vaut, selon moi, une inscription sur un tableau d’honneur virtuel.


Ce qui me conduit à vous écrire est une conséquence supplémentaire de ma ligne de conduite.


J’ai été contacté, voici trois ans environ, par un jeune journaliste, qui s’est présenté à moi en tant que Juif, m’assurant avoir besoin de mon aide face à l’antisémitisme dont il avait été victime, et qui m’a demandé un entretien. J’ai bien sûr accepté. Après notre conversation, je n’ai plus entendu parler de ce jeune journaliste et n’ai vu nulle part trace de notre entrevue. Un peu plus tard est paru un livre, que je considère profondément malsain, et dont le titre en soi est éloquent : OPA sur les juifs de France.



J’ai constaté que j’étais diffamé dans ce livre et associé à des positions qui n’ont jamais été les miennes. J’ai constaté que l’un des deux signataires du livre était le jeune journaliste qui avait réclamé mon aide. J’ai également remarqué que je n’étais pas le seul à être traîné dans la boue par cet individu, qui se répandait en propos ignominieux à mon sujet, à la faveur, entre autres, d’un entretien accordé à Primo Europe. Il y avait largement matière à porter plainte dans ledit article mais, dans mon orientation libérale, je ne suis, de façon générale, pas procédurier et ce qui se rapproche d’une police de la pensée me rebute.


Par ailleurs, dans le contexte qui était alors celui d’une vague d’antisémitisme en France, une plainte aurait pu être contre-productive. Si j’ai des ennemis, me disais-je, ils n’appartiennent pas à la communauté juive. Ils ne peuvent, par définition, pas appartenir à la communauté juive.



J’ai donc répondu par écrit, dans un contre-article dans lequel j’ai dit mon indignation. Je continue à trouver méprisable qu’on se prétende victime d’antisémitisme pour susciter la générosité de quelqu’un et le trahir ensuite. J’entendais toutefois m’arrêter à la réponse que j’avais rédigée. Je pensais, qu’après avoir menti sur mon compte, mais aussi sur bon nombre d’intellectuels juifs ou de membres actifs de la communauté juive française, après avoir parlé en termes très vils de votre prédécesseur, M. Roger Cukierman, après avoir accusé la communauté juive française d’être à vendre et Israël de se livrer à de sordides manœuvres pour acheter ce qui était « à vendre », cet individu se sentirait confus et tenterait de se faire oublier. Je m’étais trompé : cet individu appartient à la catégorie redoutable des gens qui n’ont aucune vergogne.


J’ai ainsi fait l’objet de deux plaintes, dont l’objet, évident, consiste à m’asphyxier financièrement, à nuire à ma réputation, et à me réduire au silence.



Faire l’objet de plaintes à objectifs sordides, émanant de quelqu’un qui a prononcé les accusations susdites vis-à-vis des Juifs de France et vis-à-vis d’Israël, sans qu’il n’y ait la moindre réaction de la part des organisations qui répondent promptement, en général, lorsqu’on accuse injustement les Juifs de France ou d’Israël, ou lorsqu’on incite publiquement à l’antisémitisme, a provoqué en moi un réel malaise.



N’aurait-il vraiment pas été possible de rappeler cet individu à un minimum de décence ? Vraiment, M. le Président du Crif, je vous le demande et dois le faire par écrit, à la connaissance de tous : dois-je considérer que mon refus de l’antisémitisme, mes écrits, mes paroles et mes actes, qui me situent indéfectiblement au côté d’Israël et des victimes de l’antisémitisme, ne sont pas dignes de la plus minime considération de la part de votre institution ? Qu’ils doivent me valoir ce que j’endure : une indifférence qui rappelle le mépris ? Me suis-je trompé d’engagement et de philosophie éthique, comme disait Elie Wiesel, bien que je sois toujours certain de me trouver du côté de la conscience.


Encore n’attends-je strictement rien de vous sur l’injustice qu’on m’inflige, sinon, précisément, de rester dans votre rôle, au dessus de ce qui divise. Mais je pose néanmoins très explicitement la question : qui est celui qui divise ? Que je cesse totalement d’écrire quoi que ce soit qui traite de l’antisémitisme et d’Israël, est-ce un objectif que vous partagez ? Suggérez-vous qu’il faudrait davantage d’OPA sur les juifs de France, davantage d’articles anti-israéliens et moins de publications comme mes livres Houdna et Survivre à Auschwitz ?


Mon problème se situe au delà de cet individu, qui pense et qui écrit en titre d’ouvrage que les Israélites de Frances sont une minorité à vendre. Celui qui se fait appeler Johann Weisz, de son vrai patronyme, Jonathan Myara, n’aurait probablement jamais pu ester à mon encontre sans l’action très diligente de quelqu’un qui se dit explicitement, et encore avec fierté, l’ami de Weisz-Myara, et qui est, en outre, un membre du comité exécutif national du Crif que vous présidez. Sans ce membre éminent du Crif, Patrick Klugman, que vous connaissez bien, tout m’incite à penser que nulle plainte n’aurait été déposée, et nulle action en justice n’aurait été ouverte contre ma personne. Quand bien même je reconnais l’existence des « droits de la défense », je me dois de vous dire que les propos tenus par Maître Patrick Klugman lors du premier procès étaient émétiques, et que je projette, à ce propos, d’avaler un traitement préventif contre la nausée, avant le second procès, qui doit se tenir le 12 juin prochain.



(Source : MENA, par Guy MILLIERE)

*************************************************************************************************************************



ET NOUS VOUS RAPPELONS NOTRE SOIREE DEBAT DU LUNDI 30 JUIN 2008 A MARSEILLE



Sous la présidence d'honneur de Mme Simona Frankel
Consul Général d'Israël à Marseille



UPJF Marseille clôture la saison 2007/2008

et

France-Israël Alliance général Koenig



Mme Séréna Zouaghi et l’UPJF Marseille-Provence

vous invitent, dans une ambiance amicale,

à une soirée avec



Claude Barouch

Président national de l’UPJF

qui évoquera l'année écoulée et les perspectives dans une situation complexe

et

Gilles-William Goldnadel

Président de France-Israël alliance général Koenig et d'Avocats sans frontières

qui présentera et dédicacera son ouvrage :
"Conversation sur les sujets qui fâchent"
écrit avec A. Adler et Cl. Weill Raynal



Israël a 60 ans !
Pour de nouveaux succès,
ensemble, conjuguons nos talents

Diner-Débat
Le lundi 30 juin 2008 à 20 H

ESPACE DAMYEL
28 Place Amiral Muselier – 13008 Marseille



----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Réservez votre soirée dès aujourd'hui !

Au 06 14 62 08 36 ou au 06 14 49 43 88
et adressez à l’Espace Damyel un chèque libellé à l’ordre de Espace Damyel

Réservation obligatoire : Places limitées

Participation aux frais : 38 € par personne



Nom, prénom : ……………………………………………………………Tel et Mail: …………………………………………………….



Nombre de personnes : x 38 € Total : ..................................................



Personnes dont vous désirez partager la table : ………………………………………………………………………………



…………………………………………………………………………………………………………………………

*********************************************************************************

0 Comments:

Post a Comment

<< Home