Presse britannique : l’un des suspects dans les tentatives d’attentats serait Libanais
Presse britannique : l’un des suspects dans les tentatives d’attentats serait Libanais
lundi 2 juillet 2007 - 11h45
La police britannique a arrêté cinq personnes, et poursuit ses recherches pour retrouver un sixème complice dans les attentats manqués du week-end dernier à Londres et Glasgow. Selon les télévisions arabes, aucune des cinq personnes appréhendées n’est de nationalité britannique. Il s’agirait de ressortissants étrangers. Les sources divergent sur leur origine. Certains affirment qu’il s’agit de ressortissants Asiatiques, d’autres évoquent l’Afrique du Nord. Mais la presse britannique de ce matin parle d’au moins un médecin de 26 ans, arrivé en Grande Breatagne il y a près d’un an, avec sa femme (qui porte le Burqa) et un jeune enfant (aujourd’hui il a deux ans). Ce médecin serait Iranien ou Libanais. Les recherches se poursuivent pour l’identifier avec certitude.
En tout état de cause, la presse arabe n’a pas manqué de noter, durant le week-end, le lien qui pourrait exister entre la vague terroriste qui mobilise la Grande-Bretagne, et le refus de Londres de revenir sur sa décision d’honorer l’écrivain Salman Rushdie du titre de chevalier. Ce qui avait provoqué la colère de tous les musulmans, tant Iraniens qui avaient édité une fatwa pour l’assassiner, que les Pakistanais.
D’autres pays du monde musulman se joignent aux protestations du Pakistan contre « Sir » Salman Rushdie. Téhéran a qualifié l’anoblissement de Rushdi « d’acte provocateur » et a convoqué son ambassadeur britannique. Le 19 juin, Karachi avait connu de violentes manifestations pour réclamer au gouvernement britannique de « retirer le titre de chevalier à Rushdie ». « C’est un criminel pour le Pakistan et l’Islam », scandaient les Pakistanais. Des manifestations spontanées avaient également eu lieu en Malaisie. Le ministre pakistanais des Affaires religieuses, très remonté contre la décision de Londres, n’avait pas manqué d’affirmer que la décision de « la Grande-Bretagne donnait aux kamikazes une raison d’agir ».
lundi 2 juillet 2007 - 11h45
La police britannique a arrêté cinq personnes, et poursuit ses recherches pour retrouver un sixème complice dans les attentats manqués du week-end dernier à Londres et Glasgow. Selon les télévisions arabes, aucune des cinq personnes appréhendées n’est de nationalité britannique. Il s’agirait de ressortissants étrangers. Les sources divergent sur leur origine. Certains affirment qu’il s’agit de ressortissants Asiatiques, d’autres évoquent l’Afrique du Nord. Mais la presse britannique de ce matin parle d’au moins un médecin de 26 ans, arrivé en Grande Breatagne il y a près d’un an, avec sa femme (qui porte le Burqa) et un jeune enfant (aujourd’hui il a deux ans). Ce médecin serait Iranien ou Libanais. Les recherches se poursuivent pour l’identifier avec certitude.
En tout état de cause, la presse arabe n’a pas manqué de noter, durant le week-end, le lien qui pourrait exister entre la vague terroriste qui mobilise la Grande-Bretagne, et le refus de Londres de revenir sur sa décision d’honorer l’écrivain Salman Rushdie du titre de chevalier. Ce qui avait provoqué la colère de tous les musulmans, tant Iraniens qui avaient édité une fatwa pour l’assassiner, que les Pakistanais.
D’autres pays du monde musulman se joignent aux protestations du Pakistan contre « Sir » Salman Rushdie. Téhéran a qualifié l’anoblissement de Rushdi « d’acte provocateur » et a convoqué son ambassadeur britannique. Le 19 juin, Karachi avait connu de violentes manifestations pour réclamer au gouvernement britannique de « retirer le titre de chevalier à Rushdie ». « C’est un criminel pour le Pakistan et l’Islam », scandaient les Pakistanais. Des manifestations spontanées avaient également eu lieu en Malaisie. Le ministre pakistanais des Affaires religieuses, très remonté contre la décision de Londres, n’avait pas manqué d’affirmer que la décision de « la Grande-Bretagne donnait aux kamikazes une raison d’agir ».
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