GAZA
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU condamne Israël
NOUVELOBS.COM | 24.01.2008 | 15:29
3 réactions
L'instance onusienne demande à l'Etat hébreu de lever son blocus et d'arrêter les incursions militaires dans le territoire palestinien. La situation humanitaire ne cesse d'empirer.
D'après le vice-ministre de la Défense israélien, Matan Vilnai, Israël entend couper ses liens avec la bande de Gaza en conséquence des brèches que des Palestiniens ont ouvertes à l'explosif dans le mur métallique séparant le territoire de l'Egypte.
(c) Reuters
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU condamne Israël, jeudi 24 janvier, pour ses activités dans la bande de Gaza. Il demande à l'Etat hébreu de lever son blocus et d'arrêter ses incursions militaires. La résolution du Conseil a été adoptée par 30 voix pour, 15 abstentions et 1 voix contre (avec 1 pays absent).
En six sessions extraordinaires depuis sa création (en juin 2006), cette organisation a condamné Israël à quatre reprises.
Cette réunion, entamée mercredi, s'est tenue à la demande de pays arabes et musulmans. Ils sont parvenus à réunir 21 signatures sur les 47 pays membres du Conseil. Tous les pays de l'Union européenne se sont abstenus, considérant que "le texte négligeait de mentionner les attaques de roquettes sur Israël".
Abstention
Le Canada est le seul pays à avoir voté contre le texte. Les Etats-Unis et Israël, eux, se sont abstenus d'assister à la séance, ouverte à tous les pays membres de l'ONU.
Ce vote a lieu alors que la situation humanitaire ne cesse d'empirer dans la bande de Gaza. Jeudi des dizaines de milliers de Palestiniens de ce territoire continuaient de pénétrer en Egypte, après la destruction partielle à l'explosif de la clôture les séparant de ce pays.
Depuis sa création en juin 2006, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a tenu six sessions extraordinaires en réaction à des situations d'urgence. Sur les quatre résolutions condamnant Israël, la première concernait la guerre au Liban et les trois autres la situation à Gaza.
Les deux autres sessions extraordinaires ont été consacrées au Soudan et à la Birmanie.
B'nai Brith Canada a salué la décision du gouvernement canadien, notamment du ministre des Affaires étrangères Maxime Bernier et du secrétaire d'Etat au multiculturalisme et à l'identité canadienne Jason Kenney, de ne pas participer à la conférenc
Il y a 2 heures - Guysen Israel NewsDigg It!Del.icio.us It!Add to Technorati!Scoope It!Fuzz It!Tape Moi!Il poursuit : ''En 2001, la précédente conférence Durban I avait dégénéré en ''fête de la haine'' contre Israël et les délégués juifs''. Le B'nai Brith Canada ''avait exhorté le gouvernement canadien à se retirer du processus de Durban II après que son parti pris anti-israélien fut devenu clair : cette conférence sera présidée par la Libye, les réunions préparatoires sont prévues à Pessah et à Yom Kippour, deux fêtes juives. Il appelle tous les Etats à suivre l'exemple du Canada et à rejeter Durban II''.
Blog : Michelle Goldstein
La Presse Canadienne: Des organisations juives dénoncent la tenue du carnaval de Munich
Il y a 27 minutes - Michelle GoldsteinDigg It!Del.icio.us It!Add to Technorati!Scoope It!Fuzz It!Tape Moi!La Presse Canadienne: Des organisations juives dénoncent la tenue du carnaval de Munich:
Des organisations juives dénoncent la tenue du carnaval de Munich
Il y a 23 heures
BERLIN - Le Comité international d'Auschwitz et le Conseil central des juifs d'Allemagne protestent contre l'organisation d'un carnaval à Munich dimanche, date retenue par les Nations unies pour la Journée internationale d'hommage aux victimes de l'Holocauste.
Le Comité international d'Auschwitz a dénoncé mercredi le projet qui envoie un "signal absurde". "Le fait que Munich ce jour-là prévoit et maintienne une fête de carnaval montre la légèreté et l'ignorance des responsables", estime l'organisation basée à Berlin. Dieter Graumann, un vice-président du Conseil central des juifs d'Allemagne a jugé de son côté l'idée "de mauvais goût".
Un carnaval est prévu dans la cité bavaroise dimanche, qui coïncide avec la Journée d'hommage aux victimes de l'Holocauste. La journée marque l'anniversaire de la libération du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz, en Pologne, le 27 janvier 1945 par l'Armée rouge.
Stefan Hauf, un porte-parole des autorités de Munich, a expliqué qu'il était trop tard pour annuler la parade et que la municipalité n'avait pas l'autorité pour le faire, le 27 janvier n'étant pas un jour férié. Il a également souligné que le parcours du défilé avait été modifié afin de ne pas passer comme prévu initialement par la place dédiée aux victimes du national-socialisme.
Lire la suite »
Dans un communiqué, Roger Pinto, président de SIONA et du Comité International pour la Libération Des Trois Soldats Israéliens, s’interroge sur « le silence aussi bien des médias français que des milieux politiques (…) après les déclarations abjectes de Nasrallah », le chef du Hezbollah, concernant les restes de soldats israéliens. « C’est avec la même émotion qu’on observe le silence de l’opinion publique internationale », ajoute le communiqué.
Varsovie supprime une subvention à la station intégriste Radio Maryja
LE MONDE | 23.01.08 | 15h05 • Mis à jour le 23.01.08 | 15h05VARSOVIE CORRESPONDANTE
Le nouveau gouvernement libéral vient de tenir sa promesse. Jeudi 10 janvier, la ministre de la science et de l'enseignement supérieur, Barbara Kudrycka, a rayé l'Ecole supérieure de culture sociale et médiatique du père rédemptoriste Tadeusz Rydzyk, le controversé directeur de la station intégriste Radio Maryja, de la liste des investissements prioritaires du programme européen "Infrastructure et environnement".
Connu pour ses dérives antisémites et antieuropéennes, l'émetteur voit ainsi s'envoler 15,3 millions d'euros de fonds structurels européens promis cet été par le gouvernement précédent du conservateur Jaroslaw Kaczynsky pour développer son école. L'établissement pourra toutefois participer à un concours organisé en août, sous l'égide du ministère du développement régional, et encore prétendre à une aide européenne.
La réaction du "Père directeur", tel que le baptisent ses quelque 3 millions d'auditeurs, ne s'est pas fait attendre. "C'est un comportement qui rappelle les méthodes totalitaires d'un pouvoir d'occupation", s'est irrité le religieux depuis le siège de sa radio à Torun (Nord).
Aussitôt formé, à la mi-novembre, au lendemain des élections législatives anticipées d'octobre, le gouvernement du libéral Donald Tusk (Plateforme civique, PO) s'est attelé à un réexamen minutieux des subventions accordées sous le cabinet du conservateur Jaroslaw Kaczynsky (PiS, Droit et justice). Il s'intéresse de près aux 27 millions de zlotys accordés cet automne, avant le changement de gouvernement, par le Fonds national pour la protection de l'environnement à la fondation Lux Veritatis du Père Rydzyk, pour la recherche de sources d'eaux thermales à Torun. Le directeur du Fonds a été limogé jeudi 17 janvier par le gouvernement.
Soucieux de soigner sa base électorale conservatrice catholique et toujours proche de la Radio Maryja, la droite des frères Kaczynsky a participé, le 8 décembre, à la cérémonie du 16e anniversaire de la station, à Torun. Mais le parti s'inquiète de la dernière information parue dans les médias polonais : le Père Rydzyk pourrait se lancer en politique.
Selon des spéculations de la presse, non confirmées par le religieux, un groupe de députés et d'eurodéputés proches de Radio Maryja, issus de l'extrême droite (Ligue des familles polonaises, LPR) et du PiS, auraient décidé, le 13 janvier à Lodz, de créer une nouvelle formation politique. L'une de leurs premières priorités serait de bloquer la ratification du nouveau traité européen de Lisbonne.
Un fossé grandissant entre Israël et la Diaspora
Le Prof. Yehezkel Dror n’est pas seulement membre de la Commission Winograd. Il est surtout Président de l’Institut de Planification Politique du Peuple juif, et c’est en cette qualité qu’il s’est exprimé à la tribune du Colloque d’Herzlyia. Il a dressé un tableau assez sombre sur tout ce qui touche aux relations entre l’Etat d’Israël et les communautés juives de Diaspora, en pointant un doigt accusateur sur les dirigeants israéliens.
«La solidarité entre Israël et la Diaspora n’est jamais acquise d’avance», explique Dror, «et on assiste en ce moment à une baisse notoire de l’identification de la jeunesse juive de diaspora avec Israël. De manière générale, Israël et la Diaspora ont tendance à s’éloigner de plus en plus». Et s’il est vrai que le pays est sans cesse visité et traversé par des groupes de jeunes Juifs venus de l’étranger dans d’innombrables programmes, les statistiques montrent sans appel qu’il ne s’agit que d’une infime partie de la jeunesse juive de diaspora.
Source: a7fr.net
14.01.2008
Marek Halter, écrivain engagé au service du régime antisémite syrien
LE "PELERIN DE LA PAIX" RECRUTE PAR LA FAMILLE ASSAD?
C'est l'histoire d'un (mauvais) écrivain qui se prend pour un diplomate... Ou comment la mégalomanie a rendu fou Marek Halter. En juillet dernier, le journaliste Pierre Haski divulguait les dessous du précédent voyage a Damas de l'écrivain. Celui-ci récidive aujourd'hui en publiant une tribune dans Libération, sous le titre "La paix passe par Damas!".
Quand on sait que la France vient d'annoncer il y a quelques jours la cessation des contact avec la Syrie, on comprend que l'initiative de Marek HALTER a des motivations politiques évidentes. Le précédent le voyage de Marek Halter avait été organisé par Nahed Ojjeh, la très parisienne et très riche fille de l'ex-ministre de la Défense syrien Mustapha Tlass, et veuve du marchand d'armes saoudien Akram Ojjeh, rappelait Pierre Haski.
L'article de Marek Halter a-t-il été commandé, voire rémunéré par le régime d'Assad? Tout est possible, car Marek Halter a déja prouvé qu'a ses yeux, l'argent n'avait pas d'odeur, en acceptant de voyager dans l'avion de sa "copine", la fille du sulfureux Tlass, auteur de livres virulents contre les Juifs...
En couverture des deux livres de Mustapha Tlass figure un homme à la gorge tranchée dont le sang est recueilli dans une cuvette. La couverture de la première édition représente un groupe de Juifs en train de perpétrer le meurtre, reconnaissables à leurs traits 'Juifs' conformes aux critères nazis ; sur la couverture de la deuxième édition c'est une menora, symbole juif, qui tranche la gorge de la victime.
Un écrivain de romans de gare d'inspiration pseudo-biblique, qui copine avec la fille d'un auteur d'ouvrages de propagande nazie! Tout cela, on le voit, n'est pas très conforme à l'image d'homme de "paix" que veut se donner HALTER. Mais il se peut aussi que Marek HALTER ait simplement voulu faire parler de lui, pour assouvir son ego démesuré. Affaire à suivre...
L'écrivain Marek Halter, étonnant soutien du régime syrien
Par Rue89 18H17 06/07/2007
L'écrivain Marek Halter à Damas, transformé en avocat de la Syrie sur la scène internationale? L'information a de quoi surprendre, mais l'auteur de "La Mémoire d'Abraham" a confirmé vendredi à Rue89 qu'il avait récemment effectué ce voyage, et qu'il espérait y retourner bientôt pour rencontrer le Président Bachar El-Assad.
Une première "fuite" sur ce voyage a été publiée cette semaine par la lettre confidentielle Intelligence Online, qui indiquait que le voyage de Marek Halter avait été organisé par Nahed Ojjeh, la très parisienne et très riche fille de l'ex-ministre de la Défense syrien Mustapha Tlass, et veuve du marchand d'armes saoudien Akram Ojjeh.
Marek Halter dément qu'elle ait "organisé" le voyage, mais reconnaît que celle qu'il décrit comme une "copine" lui a fourni un avion privé pour se rendre de Paris à Damas, et était présente pendant sa visite. Marek Halter était accompagné d'une équipe de la chaîne Arte et d'un photographe de Paris-Match.
Il faut arracher la Syrie à l'Iran
Sur le fond, l'écrivain juif né à Varsovie il y a 71 ans estime qu'aujourd'hui "il faut jouer la Syrie". A ses yeux, "il faut arracher la Syrie à l'Iran, car elle peut débloquer la situation au Proche-Orient". Il se dit d'ailleurs en désaccord sur ce point avec son "ami" Bernard Kouchner, le ministre des Affaires étrangères, qu'il a informé préalablement de sa démarche en Syrie, tout comme il en a informé l'Elysée et ... Israël.
Marek Halter estime que son voyage en Syrie a pleinement justifié sa prise de risque. Il raconte un dîner avec le grand mufti de Damas à la célèbre mosquée des Omeyyades, défendant un "islam laïc" acceptant les autre religions, sa visite à la femme de Michel Kilo, écrivain dissident emprisonné, ou encore à la minuscule communauté juive damascène.
L'écrivain critique l'attitude des pays occidentaux, dont la France, qui ont choisi d'isoler la Syrie dans l'affaire Hariri, du nom de l'ancien Premier ministre libanais assassiné Rafic Hariri. "C'est un dossier empoisonné que Jacques Chirac a laissé à Sarkozy", estime-t-il, ajoutant qu'il ne "fallait pas les acculer. Ils ne peuvent plus céder, c'est un peuple fier."
Des reportages publiés en France et dans le New York Times
Marek Halter est en attente de retourner à Damas une fois Bachar El-Assad intronisé pour un nouveau mandat présidentiel, après sa récente "réélection". Il sera alors en mesure de rencontrer le Président syrien. A son retour, l'écrivain publiera des reportages en France et dans le New York Times, pour plaider en faveur de cette coopération avec la Syrie.
Avec ce positionnement, Marek Halter risque de s'attirer les foudres des détracteurs de Damas, à la fois sur le fond, en raison du rôle déstabilisateur actuellement joué par la Syrie au Liban notamment, mais aussi sur la forme, avec ce voyage en jet privé sponsorisé par la veuve d'un marchand d'armes saoudien, qui fut aussi la maîtresse de Roland Dumas...
Mais Marek Halter n'en a cure: "On m'a critiqué quand je suis allé voir Yasser Arafat alors que personne ne voulait lui serrer la main, ou quand je suis allé voir Nasser quand aucun juif ne voulait y aller." Aujourd'hui, Marek Halter se propose non seulement d'aller voir Assad, mais aussi Khaled Mechal, le leader du Hamas palestinien installé à Damas.
Pierre Haski
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU condamne Israël
NOUVELOBS.COM | 24.01.2008 | 15:29
3 réactions
L'instance onusienne demande à l'Etat hébreu de lever son blocus et d'arrêter les incursions militaires dans le territoire palestinien. La situation humanitaire ne cesse d'empirer.
D'après le vice-ministre de la Défense israélien, Matan Vilnai, Israël entend couper ses liens avec la bande de Gaza en conséquence des brèches que des Palestiniens ont ouvertes à l'explosif dans le mur métallique séparant le territoire de l'Egypte.
(c) Reuters
Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU condamne Israël, jeudi 24 janvier, pour ses activités dans la bande de Gaza. Il demande à l'Etat hébreu de lever son blocus et d'arrêter ses incursions militaires. La résolution du Conseil a été adoptée par 30 voix pour, 15 abstentions et 1 voix contre (avec 1 pays absent).
En six sessions extraordinaires depuis sa création (en juin 2006), cette organisation a condamné Israël à quatre reprises.
Cette réunion, entamée mercredi, s'est tenue à la demande de pays arabes et musulmans. Ils sont parvenus à réunir 21 signatures sur les 47 pays membres du Conseil. Tous les pays de l'Union européenne se sont abstenus, considérant que "le texte négligeait de mentionner les attaques de roquettes sur Israël".
Abstention
Le Canada est le seul pays à avoir voté contre le texte. Les Etats-Unis et Israël, eux, se sont abstenus d'assister à la séance, ouverte à tous les pays membres de l'ONU.
Ce vote a lieu alors que la situation humanitaire ne cesse d'empirer dans la bande de Gaza. Jeudi des dizaines de milliers de Palestiniens de ce territoire continuaient de pénétrer en Egypte, après la destruction partielle à l'explosif de la clôture les séparant de ce pays.
Depuis sa création en juin 2006, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a tenu six sessions extraordinaires en réaction à des situations d'urgence. Sur les quatre résolutions condamnant Israël, la première concernait la guerre au Liban et les trois autres la situation à Gaza.
Les deux autres sessions extraordinaires ont été consacrées au Soudan et à la Birmanie.
B'nai Brith Canada a salué la décision du gouvernement canadien, notamment du ministre des Affaires étrangères Maxime Bernier et du secrétaire d'Etat au multiculturalisme et à l'identité canadienne Jason Kenney, de ne pas participer à la conférenc
Il y a 2 heures - Guysen Israel NewsDigg It!Del.icio.us It!Add to Technorati!Scoope It!Fuzz It!Tape Moi!Il poursuit : ''En 2001, la précédente conférence Durban I avait dégénéré en ''fête de la haine'' contre Israël et les délégués juifs''. Le B'nai Brith Canada ''avait exhorté le gouvernement canadien à se retirer du processus de Durban II après que son parti pris anti-israélien fut devenu clair : cette conférence sera présidée par la Libye, les réunions préparatoires sont prévues à Pessah et à Yom Kippour, deux fêtes juives. Il appelle tous les Etats à suivre l'exemple du Canada et à rejeter Durban II''.
Blog : Michelle Goldstein
La Presse Canadienne: Des organisations juives dénoncent la tenue du carnaval de Munich
Il y a 27 minutes - Michelle GoldsteinDigg It!Del.icio.us It!Add to Technorati!Scoope It!Fuzz It!Tape Moi!La Presse Canadienne: Des organisations juives dénoncent la tenue du carnaval de Munich:
Des organisations juives dénoncent la tenue du carnaval de Munich
Il y a 23 heures
BERLIN - Le Comité international d'Auschwitz et le Conseil central des juifs d'Allemagne protestent contre l'organisation d'un carnaval à Munich dimanche, date retenue par les Nations unies pour la Journée internationale d'hommage aux victimes de l'Holocauste.
Le Comité international d'Auschwitz a dénoncé mercredi le projet qui envoie un "signal absurde". "Le fait que Munich ce jour-là prévoit et maintienne une fête de carnaval montre la légèreté et l'ignorance des responsables", estime l'organisation basée à Berlin. Dieter Graumann, un vice-président du Conseil central des juifs d'Allemagne a jugé de son côté l'idée "de mauvais goût".
Un carnaval est prévu dans la cité bavaroise dimanche, qui coïncide avec la Journée d'hommage aux victimes de l'Holocauste. La journée marque l'anniversaire de la libération du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz, en Pologne, le 27 janvier 1945 par l'Armée rouge.
Stefan Hauf, un porte-parole des autorités de Munich, a expliqué qu'il était trop tard pour annuler la parade et que la municipalité n'avait pas l'autorité pour le faire, le 27 janvier n'étant pas un jour férié. Il a également souligné que le parcours du défilé avait été modifié afin de ne pas passer comme prévu initialement par la place dédiée aux victimes du national-socialisme.
Lire la suite »
Dans un communiqué, Roger Pinto, président de SIONA et du Comité International pour la Libération Des Trois Soldats Israéliens, s’interroge sur « le silence aussi bien des médias français que des milieux politiques (…) après les déclarations abjectes de Nasrallah », le chef du Hezbollah, concernant les restes de soldats israéliens. « C’est avec la même émotion qu’on observe le silence de l’opinion publique internationale », ajoute le communiqué.
Varsovie supprime une subvention à la station intégriste Radio Maryja
LE MONDE | 23.01.08 | 15h05 • Mis à jour le 23.01.08 | 15h05VARSOVIE CORRESPONDANTE
Le nouveau gouvernement libéral vient de tenir sa promesse. Jeudi 10 janvier, la ministre de la science et de l'enseignement supérieur, Barbara Kudrycka, a rayé l'Ecole supérieure de culture sociale et médiatique du père rédemptoriste Tadeusz Rydzyk, le controversé directeur de la station intégriste Radio Maryja, de la liste des investissements prioritaires du programme européen "Infrastructure et environnement".
Connu pour ses dérives antisémites et antieuropéennes, l'émetteur voit ainsi s'envoler 15,3 millions d'euros de fonds structurels européens promis cet été par le gouvernement précédent du conservateur Jaroslaw Kaczynsky pour développer son école. L'établissement pourra toutefois participer à un concours organisé en août, sous l'égide du ministère du développement régional, et encore prétendre à une aide européenne.
La réaction du "Père directeur", tel que le baptisent ses quelque 3 millions d'auditeurs, ne s'est pas fait attendre. "C'est un comportement qui rappelle les méthodes totalitaires d'un pouvoir d'occupation", s'est irrité le religieux depuis le siège de sa radio à Torun (Nord).
Aussitôt formé, à la mi-novembre, au lendemain des élections législatives anticipées d'octobre, le gouvernement du libéral Donald Tusk (Plateforme civique, PO) s'est attelé à un réexamen minutieux des subventions accordées sous le cabinet du conservateur Jaroslaw Kaczynsky (PiS, Droit et justice). Il s'intéresse de près aux 27 millions de zlotys accordés cet automne, avant le changement de gouvernement, par le Fonds national pour la protection de l'environnement à la fondation Lux Veritatis du Père Rydzyk, pour la recherche de sources d'eaux thermales à Torun. Le directeur du Fonds a été limogé jeudi 17 janvier par le gouvernement.
Soucieux de soigner sa base électorale conservatrice catholique et toujours proche de la Radio Maryja, la droite des frères Kaczynsky a participé, le 8 décembre, à la cérémonie du 16e anniversaire de la station, à Torun. Mais le parti s'inquiète de la dernière information parue dans les médias polonais : le Père Rydzyk pourrait se lancer en politique.
Selon des spéculations de la presse, non confirmées par le religieux, un groupe de députés et d'eurodéputés proches de Radio Maryja, issus de l'extrême droite (Ligue des familles polonaises, LPR) et du PiS, auraient décidé, le 13 janvier à Lodz, de créer une nouvelle formation politique. L'une de leurs premières priorités serait de bloquer la ratification du nouveau traité européen de Lisbonne.
Un fossé grandissant entre Israël et la Diaspora
Le Prof. Yehezkel Dror n’est pas seulement membre de la Commission Winograd. Il est surtout Président de l’Institut de Planification Politique du Peuple juif, et c’est en cette qualité qu’il s’est exprimé à la tribune du Colloque d’Herzlyia. Il a dressé un tableau assez sombre sur tout ce qui touche aux relations entre l’Etat d’Israël et les communautés juives de Diaspora, en pointant un doigt accusateur sur les dirigeants israéliens.
«La solidarité entre Israël et la Diaspora n’est jamais acquise d’avance», explique Dror, «et on assiste en ce moment à une baisse notoire de l’identification de la jeunesse juive de diaspora avec Israël. De manière générale, Israël et la Diaspora ont tendance à s’éloigner de plus en plus». Et s’il est vrai que le pays est sans cesse visité et traversé par des groupes de jeunes Juifs venus de l’étranger dans d’innombrables programmes, les statistiques montrent sans appel qu’il ne s’agit que d’une infime partie de la jeunesse juive de diaspora.
Source: a7fr.net
14.01.2008
Marek Halter, écrivain engagé au service du régime antisémite syrien
LE "PELERIN DE LA PAIX" RECRUTE PAR LA FAMILLE ASSAD?
C'est l'histoire d'un (mauvais) écrivain qui se prend pour un diplomate... Ou comment la mégalomanie a rendu fou Marek Halter. En juillet dernier, le journaliste Pierre Haski divulguait les dessous du précédent voyage a Damas de l'écrivain. Celui-ci récidive aujourd'hui en publiant une tribune dans Libération, sous le titre "La paix passe par Damas!".
Quand on sait que la France vient d'annoncer il y a quelques jours la cessation des contact avec la Syrie, on comprend que l'initiative de Marek HALTER a des motivations politiques évidentes. Le précédent le voyage de Marek Halter avait été organisé par Nahed Ojjeh, la très parisienne et très riche fille de l'ex-ministre de la Défense syrien Mustapha Tlass, et veuve du marchand d'armes saoudien Akram Ojjeh, rappelait Pierre Haski.
L'article de Marek Halter a-t-il été commandé, voire rémunéré par le régime d'Assad? Tout est possible, car Marek Halter a déja prouvé qu'a ses yeux, l'argent n'avait pas d'odeur, en acceptant de voyager dans l'avion de sa "copine", la fille du sulfureux Tlass, auteur de livres virulents contre les Juifs...
En couverture des deux livres de Mustapha Tlass figure un homme à la gorge tranchée dont le sang est recueilli dans une cuvette. La couverture de la première édition représente un groupe de Juifs en train de perpétrer le meurtre, reconnaissables à leurs traits 'Juifs' conformes aux critères nazis ; sur la couverture de la deuxième édition c'est une menora, symbole juif, qui tranche la gorge de la victime.
Un écrivain de romans de gare d'inspiration pseudo-biblique, qui copine avec la fille d'un auteur d'ouvrages de propagande nazie! Tout cela, on le voit, n'est pas très conforme à l'image d'homme de "paix" que veut se donner HALTER. Mais il se peut aussi que Marek HALTER ait simplement voulu faire parler de lui, pour assouvir son ego démesuré. Affaire à suivre...
L'écrivain Marek Halter, étonnant soutien du régime syrien
Par Rue89 18H17 06/07/2007
L'écrivain Marek Halter à Damas, transformé en avocat de la Syrie sur la scène internationale? L'information a de quoi surprendre, mais l'auteur de "La Mémoire d'Abraham" a confirmé vendredi à Rue89 qu'il avait récemment effectué ce voyage, et qu'il espérait y retourner bientôt pour rencontrer le Président Bachar El-Assad.
Une première "fuite" sur ce voyage a été publiée cette semaine par la lettre confidentielle Intelligence Online, qui indiquait que le voyage de Marek Halter avait été organisé par Nahed Ojjeh, la très parisienne et très riche fille de l'ex-ministre de la Défense syrien Mustapha Tlass, et veuve du marchand d'armes saoudien Akram Ojjeh.
Marek Halter dément qu'elle ait "organisé" le voyage, mais reconnaît que celle qu'il décrit comme une "copine" lui a fourni un avion privé pour se rendre de Paris à Damas, et était présente pendant sa visite. Marek Halter était accompagné d'une équipe de la chaîne Arte et d'un photographe de Paris-Match.
Il faut arracher la Syrie à l'Iran
Sur le fond, l'écrivain juif né à Varsovie il y a 71 ans estime qu'aujourd'hui "il faut jouer la Syrie". A ses yeux, "il faut arracher la Syrie à l'Iran, car elle peut débloquer la situation au Proche-Orient". Il se dit d'ailleurs en désaccord sur ce point avec son "ami" Bernard Kouchner, le ministre des Affaires étrangères, qu'il a informé préalablement de sa démarche en Syrie, tout comme il en a informé l'Elysée et ... Israël.
Marek Halter estime que son voyage en Syrie a pleinement justifié sa prise de risque. Il raconte un dîner avec le grand mufti de Damas à la célèbre mosquée des Omeyyades, défendant un "islam laïc" acceptant les autre religions, sa visite à la femme de Michel Kilo, écrivain dissident emprisonné, ou encore à la minuscule communauté juive damascène.
L'écrivain critique l'attitude des pays occidentaux, dont la France, qui ont choisi d'isoler la Syrie dans l'affaire Hariri, du nom de l'ancien Premier ministre libanais assassiné Rafic Hariri. "C'est un dossier empoisonné que Jacques Chirac a laissé à Sarkozy", estime-t-il, ajoutant qu'il ne "fallait pas les acculer. Ils ne peuvent plus céder, c'est un peuple fier."
Des reportages publiés en France et dans le New York Times
Marek Halter est en attente de retourner à Damas une fois Bachar El-Assad intronisé pour un nouveau mandat présidentiel, après sa récente "réélection". Il sera alors en mesure de rencontrer le Président syrien. A son retour, l'écrivain publiera des reportages en France et dans le New York Times, pour plaider en faveur de cette coopération avec la Syrie.
Avec ce positionnement, Marek Halter risque de s'attirer les foudres des détracteurs de Damas, à la fois sur le fond, en raison du rôle déstabilisateur actuellement joué par la Syrie au Liban notamment, mais aussi sur la forme, avec ce voyage en jet privé sponsorisé par la veuve d'un marchand d'armes saoudien, qui fut aussi la maîtresse de Roland Dumas...
Mais Marek Halter n'en a cure: "On m'a critiqué quand je suis allé voir Yasser Arafat alors que personne ne voulait lui serrer la main, ou quand je suis allé voir Nasser quand aucun juif ne voulait y aller." Aujourd'hui, Marek Halter se propose non seulement d'aller voir Assad, mais aussi Khaled Mechal, le leader du Hamas palestinien installé à Damas.
Pierre Haski
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