CE QUE CONTIENNENT LES MANUELS SCOLAIRES PALESTINIEN
..."Il n’y a pas le moindre doute: les dirigeants de l’éducation palestinienne
fabriquent ici, sous les yeux des Nations Unies consentantes, une nouvelle
génération de fous djihadistes, en leur mentant dès l’enfance sur leur
histoire, leur religion, leur pays, leur identité et le monde entier"...
Sujet : Nouveau rapport sur les manuels scolaires palestiniens
http://ajm.ch/wordpress/?p=485
Les écoles palestiniennes s’obstinent à
endoctriner leurs élèves
C’est ce que confirme aujourd’hui rien moins que Hillary Clinton
. Et ce n’est que la suite
d’une longue et lamentable histoire de haine, de mensonges, de calomnies, de
promesses non tenues.
Jusque dans les années 1990, les petits Palestiniens apprenaient ce qu’
apprennent leurs copains arabes jordaniens (en Judée-Samarie, appelée
Cisjordanie) ou égyptiens (dans la bande de Gaza). Ces manuels étaient
certes expurgés de passages trop résolument antisémites par l’État israélien
(avec l’autorisation d’une commission ad hoc des NU)entre 1969 et octobre
1995, date à laquelle l’OLP et la Ligue arabe obtinrent l’arrêt de cette
mesure, mais, même pendant cette période, les citations des textes sacrés
(mentionnant les Juifs en des termes fort injurieux) restaient intouchables
et les enseignants utilisaient tout de même le message entier, qu’ils
connaissaient par leur formation.
Tout devait changer avec les accords d’Oslo, et notamment avec l’accord du
Caire de 1994 par lequel Israël transférait à l’AP différents pouvoirs
administratifs, dont l’éducation, et qui stipulait, entre autres, qu’«Israël
et l’Autorité palestinienne assureront que leurs systèmes respectifs d’
éducation contribuent à la paix entre Israël et les Palestiniens et à la
paix dans toute la région». Dès lors, l’AP avait à charge l’éducation de
quelque 900.000 élèves. Avec l’aide de l’UNRWA
, l’agence des NU qui s’occupe
exclusivement des «réfugiés» palestiniens.
D’abord, l’UNESCO fit faire un rapport indépendant sur la question de l’
éducation des Palestiniens. Publié en 1996, comptant 676 pages, ce document,
le rapport Lughod, du nom d’un universitaire palestinien exerçant aux
États-Unis, était une promesse d’équilibre réformiste, de sagesse, de vision
d’avenir ouverte et ambitieuse. Mais le ministère palestinien l’ignora
totalement et rédigea un nouveau rapport, sans aucune velléité réformiste.
Malgré cela, des centaines de millions de dollars d’aide furent engloutis
dans l’«éducation» des jeunes Palestiniens et avec elle à la réalisation de
nouveaux manuels scolaires.
En 2003, les manuels scolaires palestiniens ont fait l’objet d’une enquête
approfondie, dirigée par Yohanan Manor, président fondateur du CMIP [
Center for Monitoring the Impact of Peace]. Les
résultats navrants ont été publiés en français par Berg International
Éditeurs sous le titre «Les
crifi%C3%A9e/dp/2911289536> manuels scolaires palestiniens – une génération
sacrifiée»:
Le processus de paix d’Oslo n’est pas mentionné; pas un mot sur les
engagements pris, les avantages obtenus. L’histoire de la région est
présentée de manière simplissime et unilatéralement accusatrice pour Israël,
dont l’existence en tant qu’État est systématiquement ignorée ou niée –
seule existe la Palestine, depuis toujours, peuplée de gens aimables et
doux. Israël n’est présentée, à travers l’enseignement de l’histoire, de la
géographie, des traditions islamiques et de la langue arabe, que comme une
entreprise agressive et criminelle lancée par les Juifs, des êtres
intrinsèquement mauvais, selon le prophète lui-même, qui utilisèrent pour
cela l’idéologie sioniste, une variante du nazisme créée tout exprès pour
eux par les puissances coloniales européennes pour mieux s’emparer des
richesses naturelles et menacer la survie même de la Patrie arabe. Ces
manuels pervertissent même les versets du Coran pour forcer le trait.
C’est une véritable abomination, un vomitif absolu. Il est impossible de
comprendre même de très loin ce qui se passe aujourd’hui dans les
territoires palestiniens, par exemple l’arrivée au pouvoir du Hamas, sans
avoir pris connaissance des exécrables mensonges que les dirigeants
palestiniens imposent à leur progéniture (et ainsi à l’ensemble des
crédules).
Et, comme nous pouvons le voir aujourd’hui, grâce à une autre enquête
portant sur les manuels
scolaires publiés à la fin 2006 pour le 12e degré, l’effort de propagation
de la haine continue de plus belle:
La lutte contre Israël est présentée comme une guerre religieuse au nom de
l’Islam. L’État même d’Israël n’est pas mentionné comme tel; les Israéliens
et leur pays sont systématiquement dénigrés par des appellations telles que
«l’entité sioniste», «l’ennemi de notre peuple», «les gangs sionistes» ou
encore «le plan impérialiste sioniste». Les relations avec l’Occident sont
présentées comme un choc des civilisations. Selon ces «ouvrages», l’Islam
promeut les droits de l’homme, et les «états colonialistes en profitent»;
ils sont responsables de ce qui arrive en Afghanistan, en Irak et même au
Darfour.
Le terrorisme, selon eux, est protégé par les Nations unies et les lois
internationales. Lutter contre le terrorisme palestinien est une violation
du droit international. Idem pour le Hezbollah. Les textes désignent la
Palestine non comme une région géographique, mais comme un État (en arabe:
Daoula) qui aurait accès à la Mer Rouge, ce qui n’est possible qu’en gommant
Israël. Idem pour la superficie de cet état. On dit des auteurs palestiniens
vivant en Israël qu’ils sont en Palestine. Pas un mot sur les liens
historiques entre les Juifs et cette région, seul le Christianisme est
mentionné (avec Jésus comme prophète de l’Islam). Toutes les villes
israéliennes sont qualifiées du même terme qui désigne les implantations.
Aucune carte ne fait référence à l’État d’Israël dans l’ensemble du système
éducatif palestinien. La présence d’Israël est une «catastrophe sans
précédent dans l’histoire», un phénomène impérialiste, raciste,
exterminateur.
La Deuxième Guerre mondiale est totalement amputée de l’Holocauste et de
toute persécution des Juifs. Toute l’histoire d’Israël, depuis 1948, est
celle d’une conquête impérialiste et raciste, pleine de massacres, de vols,
d’expulsions, de persécutions, d’exils, de paupérisation, qui vise sciemment
l’ensemble des États arabes, y compris La Mecque.
Dès lors il n’est que normal que les Musulmans fassent le djihad, deviennent
des shahids, se sacrifient pour Allah et leur douce patrie. Il faut que tous
les membres de la société participent activement au djihad. Le martyre est
glorifié, présenté (comme le faisait le prophète) comme l’idéal le plus
élevé que puisse atteindre le bon Musulman. Leur mort n’en est pas une, c’
est au contraire la vraie vie, avec Allah, au Paradis.
Les États-Unis sont l’ennemi des Palestiniens et des Arabes. Un choc des
civilisations les séparent. Toutes les interventions occidentales sont
décrites comme mal intentionnées. Les conquêtes des Musulmans (l’Andalousie
par exemple) sont présentées comme des cadeaux culturels au reste du monde.
Le choc des civilisations résulte donc du colonialisme européen, des
violations des droits de l’homme par les États-Unis et l’Occident, des
«tensions» causées par les «événements» du 11 septembre, de l’interdiction
du voile islamique dans les écoles, des caricatures danoises et de l’absence
de volonté de dialogue de l’Occident avec le monde arabo-musulman. L’
Histoire se concentre sur les guerres et ignore totalement les accords d’
Oslo et presque entièrement le processus de paix dans son ensemble.
Les écoles, par dizaines, sont désignées par des noms de terroristes. Le nom
d’école qui semble le plus commun est Al Khansah, du nom d’une mère qui se
serait réjouie aux anges de voir ses quatre fils tombés en martyrs. Les noms
de lieux situés en Israël sont aussi très en vogue.
Il n’y a pas le moindre doute: les dirigeants de l’éducation palestinienne
fabriquent ici, sous les yeux des Nations Unies consentantes, une nouvelle
génération de fous djihadistes, en leur mentant dès l’enfance sur leur
histoire, leur religion, leur pays, leur identité et le monde entier.
fabriquent ici, sous les yeux des Nations Unies consentantes, une nouvelle
génération de fous djihadistes, en leur mentant dès l’enfance sur leur
histoire, leur religion, leur pays, leur identité et le monde entier"...
Sujet : Nouveau rapport sur les manuels scolaires palestiniens
http://ajm.ch/wordpress/?p=485
Les écoles palestiniennes s’obstinent à
endoctriner leurs élèves
C’est ce que confirme aujourd’hui rien moins que Hillary Clinton
d’une longue et lamentable histoire de haine, de mensonges, de calomnies, de
promesses non tenues.
Jusque dans les années 1990, les petits Palestiniens apprenaient ce qu’
apprennent leurs copains arabes jordaniens (en Judée-Samarie, appelée
Cisjordanie) ou égyptiens (dans la bande de Gaza). Ces manuels étaient
certes expurgés de passages trop résolument antisémites par l’État israélien
(avec l’autorisation d’une commission ad hoc des NU)entre 1969 et octobre
1995, date à laquelle l’OLP et la Ligue arabe obtinrent l’arrêt de cette
mesure, mais, même pendant cette période, les citations des textes sacrés
(mentionnant les Juifs en des termes fort injurieux) restaient intouchables
et les enseignants utilisaient tout de même le message entier, qu’ils
connaissaient par leur formation.
Tout devait changer avec les accords d’Oslo, et notamment avec l’accord du
Caire de 1994 par lequel Israël transférait à l’AP différents pouvoirs
administratifs, dont l’éducation, et qui stipulait, entre autres, qu’«Israël
et l’Autorité palestinienne assureront que leurs systèmes respectifs d’
éducation contribuent à la paix entre Israël et les Palestiniens et à la
paix dans toute la région». Dès lors, l’AP avait à charge l’éducation de
quelque 900.000 élèves. Avec l’aide de l’UNRWA
exclusivement des «réfugiés» palestiniens.
D’abord, l’UNESCO fit faire un rapport indépendant sur la question de l’
éducation des Palestiniens. Publié en 1996, comptant 676 pages, ce document,
le rapport Lughod, du nom d’un universitaire palestinien exerçant aux
États-Unis, était une promesse d’équilibre réformiste, de sagesse, de vision
d’avenir ouverte et ambitieuse. Mais le ministère palestinien l’ignora
totalement et rédigea un nouveau rapport, sans aucune velléité réformiste.
Malgré cela, des centaines de millions de dollars d’aide furent engloutis
dans l’«éducation» des jeunes Palestiniens et avec elle à la réalisation de
nouveaux manuels scolaires.
En 2003, les manuels scolaires palestiniens ont fait l’objet d’une enquête
approfondie, dirigée par Yohanan Manor, président fondateur du CMIP [
résultats navrants ont été publiés en français par Berg International
Éditeurs sous le titre «Les
sacrifiée»:
Le processus de paix d’Oslo n’est pas mentionné; pas un mot sur les
engagements pris, les avantages obtenus. L’histoire de la région est
présentée de manière simplissime et unilatéralement accusatrice pour Israël,
dont l’existence en tant qu’État est systématiquement ignorée ou niée –
seule existe la Palestine, depuis toujours, peuplée de gens aimables et
doux. Israël n’est présentée, à travers l’enseignement de l’histoire, de la
géographie, des traditions islamiques et de la langue arabe, que comme une
entreprise agressive et criminelle lancée par les Juifs, des êtres
intrinsèquement mauvais, selon le prophète lui-même, qui utilisèrent pour
cela l’idéologie sioniste, une variante du nazisme créée tout exprès pour
eux par les puissances coloniales européennes pour mieux s’emparer des
richesses naturelles et menacer la survie même de la Patrie arabe. Ces
manuels pervertissent même les versets du Coran pour forcer le trait.
C’est une véritable abomination, un vomitif absolu. Il est impossible de
comprendre même de très loin ce qui se passe aujourd’hui dans les
territoires palestiniens, par exemple l’arrivée au pouvoir du Hamas, sans
avoir pris connaissance des exécrables mensonges que les dirigeants
palestiniens imposent à leur progéniture (et ainsi à l’ensemble des
crédules).
Et, comme nous pouvons le voir aujourd’hui, grâce à une autre enquête
portant sur les
scolaires publiés à la fin 2006 pour le 12e degré, l’effort de propagation
de la haine continue de plus belle:
La lutte contre Israël est présentée comme une guerre religieuse au nom de
l’Islam. L’État même d’Israël n’est pas mentionné comme tel; les Israéliens
et leur pays sont systématiquement dénigrés par des appellations telles que
«l’entité sioniste», «l’ennemi de notre peuple», «les gangs sionistes» ou
encore «le plan impérialiste sioniste». Les relations avec l’Occident sont
présentées comme un choc des civilisations. Selon ces «ouvrages», l’Islam
promeut les droits de l’homme, et les «états colonialistes en profitent»;
ils sont responsables de ce qui arrive en Afghanistan, en Irak et même au
Darfour.
Le terrorisme, selon eux, est protégé par les Nations unies et les lois
internationales. Lutter contre le terrorisme palestinien est une violation
du droit international. Idem pour le Hezbollah. Les textes désignent la
Palestine non comme une région géographique, mais comme un État (en arabe:
Daoula) qui aurait accès à la Mer Rouge, ce qui n’est possible qu’en gommant
Israël. Idem pour la superficie de cet état. On dit des auteurs palestiniens
vivant en Israël qu’ils sont en Palestine. Pas un mot sur les liens
historiques entre les Juifs et cette région, seul le Christianisme est
mentionné (avec Jésus comme prophète de l’Islam). Toutes les villes
israéliennes sont qualifiées du même terme qui désigne les implantations.
Aucune carte ne fait référence à l’État d’Israël dans l’ensemble du système
éducatif palestinien. La présence d’Israël est une «catastrophe sans
précédent dans l’histoire», un phénomène impérialiste, raciste,
exterminateur.
La Deuxième Guerre mondiale est totalement amputée de l’Holocauste et de
toute persécution des Juifs. Toute l’histoire d’Israël, depuis 1948, est
celle d’une conquête impérialiste et raciste, pleine de massacres, de vols,
d’expulsions, de persécutions, d’exils, de paupérisation, qui vise sciemment
l’ensemble des États arabes, y compris La Mecque.
Dès lors il n’est que normal que les Musulmans fassent le djihad, deviennent
des shahids, se sacrifient pour Allah et leur douce patrie. Il faut que tous
les membres de la société participent activement au djihad. Le martyre est
glorifié, présenté (comme le faisait le prophète) comme l’idéal le plus
élevé que puisse atteindre le bon Musulman. Leur mort n’en est pas une, c’
est au contraire la vraie vie, avec Allah, au Paradis.
Les États-Unis sont l’ennemi des Palestiniens et des Arabes. Un choc des
civilisations les séparent. Toutes les interventions occidentales sont
décrites comme mal intentionnées. Les conquêtes des Musulmans (l’Andalousie
par exemple) sont présentées comme des cadeaux culturels au reste du monde.
Le choc des civilisations résulte donc du colonialisme européen, des
violations des droits de l’homme par les États-Unis et l’Occident, des
«tensions» causées par les «événements» du 11 septembre, de l’interdiction
du voile islamique dans les écoles, des caricatures danoises et de l’absence
de volonté de dialogue de l’Occident avec le monde arabo-musulman. L’
Histoire se concentre sur les guerres et ignore totalement les accords d’
Oslo et presque entièrement le processus de paix dans son ensemble.
Les écoles, par dizaines, sont désignées par des noms de terroristes. Le nom
d’école qui semble le plus commun est Al Khansah, du nom d’une mère qui se
serait réjouie aux anges de voir ses quatre fils tombés en martyrs. Les noms
de lieux situés en Israël sont aussi très en vogue.
Il n’y a pas le moindre doute: les dirigeants de l’éducation palestinienne
fabriquent ici, sous les yeux des Nations Unies consentantes, une nouvelle
génération de fous djihadistes, en leur mentant dès l’enfance sur leur
histoire, leur religion, leur pays, leur identité et le monde entier.
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