201- L'antisémitisme "menace les valeurs" des citoyens Français (Tzipi Livni)
L'antisémitisme "menace les valeurs auxquelles croit tout citoyen français", a déclaré mercredi à Paris la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, exprimant sa "profonde solidarité" à la famille du jeune juif assassiné Ilan Halimi.
"L'un des sujets les plus inquiétants est celui de l'antisémitisme", a dit Mme Livni avant un dîner avec son homologue français Philippe Douste-Blazy. "Je suis persuadée que ce phénomène menace les valeurs auxquelles croit tout citoyen français", a-t-elle ajouté.
Mme Livni a fait part de ses "sincères condoléances et (sa) profonde solidarité à la famille Halimi et à toute la communauté juive de France" et a souligné que "Israël appréciait les mesures prises par le gouvernement français dans sa lutte contre l'antisémitisme".
Pour sa part, M. Douste-Blazy a dit combien il pensait "à Ilan, à sa famille, à la communauté juive, et combien, par respect pour eux et pour les très nombreux Français qui ont ressenti une émotion extrême devant cette atrocité, il est important qu'avec les autorités ivoiriennes nous fassions acte de justice vis-à-vis de celui qui a commis ce crime".
Le meurtrier présumé d'Ilan Halimi, Youssouf Fofana, a été arrêté le 22 février à Abidjan d'où il doit être extradé.
La France a vu "le nombre d'actes antisémites baisser dans notre pays grâce à une action résolue politique, éthique, mais aussi législative, pour que le crimes d'antisémitisme soient très sévèrement punis", a fait valoir M. Douste-Blazy.
Plusieurs centaines d'Israéliens d'origine française ont manifesté mercredi à Jérusalem-est leur solidarité avec les juifs de France après le meurtre d'Ilan Halimi, assassiné par un gang dit "des barbares".
La justice française a estimé que le meurtre, même s'il avait des motifs crapuleux, pouvait avoir une dimension antisémite. Ilan Halimi, 23 ans, a été découvert agonisant le 13 février près d'une gare de la banlieue parisienne. Il portait des marques de tortures et de brûlures sur 80% du corps.
Mme Livni s'était entretenue auparavant avec le Premier ministre français Dominique de Villepin pendant près d'une heure.
"L'un des sujets les plus inquiétants est celui de l'antisémitisme", a dit Mme Livni avant un dîner avec son homologue français Philippe Douste-Blazy. "Je suis persuadée que ce phénomène menace les valeurs auxquelles croit tout citoyen français", a-t-elle ajouté.
Mme Livni a fait part de ses "sincères condoléances et (sa) profonde solidarité à la famille Halimi et à toute la communauté juive de France" et a souligné que "Israël appréciait les mesures prises par le gouvernement français dans sa lutte contre l'antisémitisme".
Pour sa part, M. Douste-Blazy a dit combien il pensait "à Ilan, à sa famille, à la communauté juive, et combien, par respect pour eux et pour les très nombreux Français qui ont ressenti une émotion extrême devant cette atrocité, il est important qu'avec les autorités ivoiriennes nous fassions acte de justice vis-à-vis de celui qui a commis ce crime".
Le meurtrier présumé d'Ilan Halimi, Youssouf Fofana, a été arrêté le 22 février à Abidjan d'où il doit être extradé.
La France a vu "le nombre d'actes antisémites baisser dans notre pays grâce à une action résolue politique, éthique, mais aussi législative, pour que le crimes d'antisémitisme soient très sévèrement punis", a fait valoir M. Douste-Blazy.
Plusieurs centaines d'Israéliens d'origine française ont manifesté mercredi à Jérusalem-est leur solidarité avec les juifs de France après le meurtre d'Ilan Halimi, assassiné par un gang dit "des barbares".
La justice française a estimé que le meurtre, même s'il avait des motifs crapuleux, pouvait avoir une dimension antisémite. Ilan Halimi, 23 ans, a été découvert agonisant le 13 février près d'une gare de la banlieue parisienne. Il portait des marques de tortures et de brûlures sur 80% du corps.
Mme Livni s'était entretenue auparavant avec le Premier ministre français Dominique de Villepin pendant près d'une heure.
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