Sunday, January 17, 2010

USA : La terroriste musulmane exige qu’aucun juré à son procès ne soit juif.

Par Yann le 16 janvier 2010

Et elle a exigé que les membres du jury soient soumis à des tests génétiques pour s’en assurer.

Aafia Siddiqui

La scientifique pakistanaise, seule femme à ce jour accusée de travailler avec la direction d’al-Qaeda, a exigé que les Juifs soient exclus du jury à son procès à New York. Dans un éclat hier au tribunal fédéral, Aafia Siddiqui a demandé à ce que les jurés soient soumis à des tests génétiques.

« S’ils sont d’origine sioniste ou israélienne… ils m’en veulent » a déclaré Me Siddiqui, neuroscientifique ayant suivi ses études aux États-unis. « J’ai le sentiment que chacun ici en est un….. à soumettre à des tests génétiques. Vous devriez les exclure si vous voulez être justes. » a-t-elle dit au juge.

Selon les procureurs, Me Siddiqui, titulaire d’un diplôme en biologie du prestigieux institut de technologie du Massachussets ainsi que d’un doctorat de l’université Brandeis et âgée de 37 ans, a fui les États-Unis en 2003 après avoir épousé un membre d’al-Qaeda.

Elle aurait été arrêtée en Afghanistan, à l’extérieur d’une enceinte gouvernementale, en possession de près d’un kilogramme de cyanure de sodium, composé très toxique, de documents sur les armes chimiques, biologiques et radiologiques, ainsi que de descriptifs de sites américains importants tels que Wall Street ou la statue de la liberté.

Elle est accusée de s’être censément saisie du fusil M4 d’un officier de l’armée américaine et d’avoir tiré sur une équipe d’agents du FBI qui essayait de l’interroger le 18 juillet 2008. Elle avait été blessée à l’estomac au cours de l’échange de tir et fut envoyée aux USA quelques semaines plus tard pour y être inculpée de tentative de meurtre et d’agression.

Me Siddiqui qui portait au tribunal un voile blanc qui couvrait son visage a juré de ne pas coopérer. « Sachez-le, je boycotte ce procès. Il y a trop d’injustices », s’est-elle exclamée.

Source : Times
Traduction d’extraits Bivouac-ID

Tuesday, January 12, 2010

La Turquie exige des "excuses" d'Israël, récuse tout antisémitisme
ANKARA - La Turquie a exigé mardi des "excuses" d'Israël pour le traitement infligé la veille à son ambassadeur dans ce pays et récusé avec "véhémence" les accusations d'antisémitisme, un nouvel épisode des turbulences qui affectent les relations entre les deux pays.

Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a réclamé des "excuses" pour le traitement réservé à l'ambassadeur turc Oguz Celikkol, qui "n'est pas conforme aux us et coutumes de la diplomatie".

"La Turquie attend des mesures compensatoires au sujet du comportement réservé à notre ambassadeur", ajoute le ministère.

Plus tôt, l'ambassadeur d'Israël en Turquie, Gabby Levy, avait été convoqué au ministère pour entendre les protestations turques dans cette affaire.

M. Levy a été reçu par le sous-secrétaire d'Etat Feridun Sinirlioglu.

Celui-ci a exprimé son mécontentement au sujet de la convocation de M. Celikkol par Danny Ayalon, le vice-ministre israélien des Affaires étrangères, à la suite de la diffusion en Turquie d'un téléfilm jugé antisémite par Israël, a précisé une source diplomatique turque.

M. Ayalon avait pris soin de mettre en scène cette convocation, et les médias israéliens évoquaient mardi une "réprimande humiliante" à l'appui de photos montrant le diplomate turc, l'air contrit face à M. Ayalon, debout et entouré de trois fonctionnaires israéliens à la mine sévère.

M. Ayalon a refusé de serrer la main de l'ambassadeur turc et l'a contraint à attendre longuement avant d'être reçu.

Cette nouvelle poussée de fièvre survient après la diffusion en Turquie d'un téléfilm, "La vallée des loups", jugé violemment anti-israélien, et de nouvelles critiques du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan contre un raid aérien israélien sur la bande de Gaza lors du week-end.

La Turquie, pays musulman, a longtemps fait figure d'allié régional d'Israël. Mais les relations bilatérales se sont détériorées l'hiver dernier avec l'offensive israélienne contre la bande de Gaza, violemment critiquée par les dirigeants turcs.

"Suggérer que l'antisémitisme se propage en Turquie est une accusation dénuée de tout fondement", a souligné un premier communiqué du ministère des Affaires étrangères, affirmant que les critiques du Premier ministre turc visent "exclusivement les pratiques et politiques inacceptables d'Israël à Gaza".

Le ministère a rappelé que les juifs séfarades fuyant l'Inquisition espagnole au XVe siècle ont été accueillis par l'empire ottoman.

"L'Histoire témoigne de notre tolérance envers le peuple d'Israël", a aussi souligné M. Erdogan devant la presse, avant de quitter Ankara pour une visite en Russie.

En dépit de ces tensions, le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a prévu de se rendre dimanche en Turquie, pour y rencontrer les responsables turcs.

(©AFP / 12 janvier 2010 16h33)

Sunday, January 10, 2010

La Jordanie demande au Canada de saisir les manuscrits de la mer Morte

(AFP) – 1 janv. 2010

OTTAWA — La Jordanie a demandé au Canada de saisir les manuscrits de la mer Morte actuellement exposés à Toronto, a-t-on appris vendredi de source officielle, mais le gouvernement d'Ottawa semble peu enclin à suivre sa requête.

"Nous pouvons confirmer avoir reçu un message de la Jordanie", a indiqué à l'AFP une porte-parole du ministère canadien des Affaires étrangères, Simone MacAndrew, interrogée sur une information en ce sens donnée par le quotidien de référence Globe and Mail.

"Les divergences concernant les manuscrits de la mer Morte doivent être réglées par Israël, la Jordanie et l'Autorité palestinienne. Il serait inapproprié pour le Canada d'y intervenir", a-t-elle ajoutée.

Les manuscrits de la mer Morte, également appelés manuscrits de Qumrân, attribués à la communauté religieuse juive des Esséniens, sont des documents datant du Ier siècle av. J.C. Ils présentent un intérêt historique considérable, surtout pour les chercheurs biblistes.

Israël en a récupéré un certain nombre dans un musée de Jérusalem-Est, occupée à l'issue de la Guerre des six jours.

La Jordanie a demandé, par l'intermédiaire du chargé d'affaires canadiens à Amman, que le Canada saisisse les manuscrits exposés jusqu'à dimanche prochain au Musée Royal de l'Ontario, en invoquant la Convention de La Haye de 1954 sur la protection des biens culturels en cas de conflit armé, dont les deux pays sont signataires, a précisé le Globe and Mail.

La Convention prévoit que les pays signataires doivent prendre en charge et protéger les biens culturels provenant d'une zone de guerre et importés sur son territoire.

Israël, pour sa part, ne revendique pas la propriété des documents et estime que leur bref séjour à l'étranger ne constitue pas une "importation". "Nous sommes les gardiens des manuscrits de la mer Morte", indique Pnina Shor, de l'Autorité des Antiquités, cité par le journal.

En avril, l'Autorité palestinienne avait écrit au Premier ministre canadien Stephen Harper pour lui demander l'annulation de l'exposition de Toronto pour les mêmes motifs.
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Les organisations humanitaires sont abusées par la doctrine palestinienne

Par Bertrand Ramas-Muhlbach pour : http://lessakele.over-blog.fr et www.aschkel.info

dimanche 3 janvier 2010
Ce 31 décembre 2009, des militants (« pacifistes ») issus d’organisations humanitaires de 43 pays, sont venus manifester des deux côtés de la frontière entre Israël et la bande de Gaza, pour protester contre ce qu’ils qualifient de « blocus » imposé par les autorités israéliennes au territoire palestinien. Pour les manifestants palestiniens, la marche organisée de part et d’autre du terminal d’Erez, (principal passage entre Israël et la bande de Gaza, réservé aux malades, journalistes, diplomates et membres d’organisations humanitaires), est sensée symboliser « la communauté de destin entre la bande de Gaza et la Cisjordanie occupée ».

Pour les autres manifestants, il s’agissait essentiellement de marquer le premier anniversaire de l’offensive israélienne (dans la bande de Gaza) d’une durée de 22 jours, qui s’est soldée par la mort de 1 166 Palestiniens tués, dont 709 militants de divers groupes armés, ce qui correspond à un maximum de 39.2% de civils, côté palestinien (mais qui a tout de même permis un arrêt provisoire des tirs de roquettes palestiniens sur le territoire israélien).

Etrangement, l’approche de la notion de Droits de l’Homme par les organisateurs de la manifestation est tout à fait partisane. En effet, ceux-ci n’ont fait aucune référence au soldat Guilad Shalit, ni pour ce qu’il en est de son enlèvement par l’organisation Hamas, pas plus que pour les conditions de sa captivité, ni enfin au regard du chantage exercé pour obtenir sa libération. Il ne leur est peut être pas apparu que le Hamas violait de manière flagrante tous les principes posés par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Les organisateurs de la manifestation n’ont pas, non plus, souligné l’extraordinaire contradiction des palestiniens de Gaza qui désiraient, depuis de nombreuses années, se débarrasser de toute présence juive sur la bande de Gaza et dont les prières ont été entendues par Ariel Sharon. Ce dernier les en a libérés et désormais, plus aucun juif ne traîne sur ce territoire ni ne vient les importuner. Or, lorsque Israël prend acte de leur volonté de se couper de « l’entité sioniste » en interrompant tout contact avec eux, cela ne va toujours pas.

Les organisateurs de la manifestation exploitent en fait cette qualification incorrecte de « blocus » donnée à la fermeture des frontières entre l’Etat d’Israël et la bande de Gaza, alors que jamais l’étanchéité des frontières dans le monde, n’a été qualifiée de blocus. Sur ce point, les Palestiniens manquent encore de cohérence en ce qu‘ils réclament un Etat indépendant, mais reprochent la pose de frontières qui consacrent leur indépendance territoriale.

S’agissant de la conception de « blocus », elle est également fluctuante : les organisateurs de la marche aurait pu manifester du côté égyptien pour critiquer le « blocus égyptien de leur territoire ». Le pays dirigé par Hosni Moubarak édifie, en effet, une clôture de séparation avec les Palestiniens sur les 10 km de frontières communes, pour que cessent les trafics d‘armes. Or, la fermeture de cette frontière palestino-égyptienne est beaucoup plus choquante que la séparation aménagée par l’Etat juif, puisque, tout comme les palestiniens, les égyptiens ont la même origine arabe, parlent la même langue arabe, et sont de la même confession musulmane.

Il est, en fait, regrettable que les organisateurs des manifestations humanitaires qui critiquent la violation des Droits de l’Homme, choisissent rarement les pays dans lesquels les principes posés par les conventions de sauvegarde des Droits de l’Homme sont régulièrement violés comme, par exemple, l’Iran, où les opposants au régime sont victimes d’une répression sauvage de la part du pouvoir en place, ou encore l’Afghanistan, alors que le régime Taliban imposé à la population est plutôt éloigné des principes issus de la Convention Universelle des Droits de l’Homme.

Dans ce registre, les organisations humanitaires auraient pu se réjouir de la chance dont jouissent les Palestiniens de Gaza, qui, s’ils avaient habité en Chine, aurait eu un sort beaucoup moins enviable. En effet, le système pénal chinois est particulièrement sévère avec les actes que les Palestiniens affirment être des actes de résistance : en Chine (comme dans le reste du monde) ces actes sont qualifiés de crime et sanctionnés au moyen de la peine de mort, par le Code pénal chinois.

Il en est ainsi de la destruction ou de la dégradation volontaire ayant entraîné la mort ou une mutilation (art 115), du sabotage suivi de mort ou de mutilations (art 119), du détournement d‘avion suivi de mort ou de mutilation (art 121), de la fabrication, du transport, de l’envoi ou de la détention illégale d’armes, de munitions, d’explosifs (art 125), du vol ou de l’appropriation illégale d’armes, de munitions ou d’explosifs (art 127), de la contrebande d’armes, de munitions, d’explosifs (art 145) , de l’homicide volontaire (art 232), des violences ayant entraîné, soit la mort sans intention de la donner, soit une mutilation rendant la victime invalide de part la cruauté de ces violences (art 234), l’enlèvement ayant entraîné la mort (art 239), enseigner à quelqu’un comment commettre un crime (art 295), le sabotage militaire, notamment, en temps de guerre (art 369), le vol de matériel militaire (art 438), la vente illégale ou le transfert illégal de matériel militaire (art 439), le vol ou la violence sur les innocents par un militaire en temps de guerre (art 446), la participation à des actes qui affectent la sécurité nationale ou qui causent un grave préjudice au peuple ou à l’État (art 113), …

Il est vrai qu’en Chine, les milliers de personnes exécutées chaque année sont plutôt des personnes impliquées dans des trafics de drogue (art 347), voire également des opposants politiques. Il n’en demeure pas moins vrai que le Code pénal chinois est également, intraitable, avec tous les actes qu’affectionnent les palestiniens.

En fait, les organisations chargées de défendre les Droits de l’Homme qui manifestent à Gaza ou en Israël n’ont aucune approche objective de la notion et sont abusées par la démonstration palestinienne de l’oppression israélienne. Celle-ci ne résiste pourtant pas à l’analyse.

Dans leur système microcosmique, les responsables palestiniens de la bande de Gaza imposent, par la terreur des populations résidentes, le mensonge de l’oppression israélienne qu’elles parviennent à exporter au-delà du territoire. Ainsi, et de manière tout à fait opaque, sans contre-pouvoir et avec un fonctionnement quasi ésotérique, le régime politique parvient à susciter la compassion dans les pays démocratiques, et à cultiver une haine ou une aversion anti-juive ou anti-israélienne (version contemporaine de l’antisémitisme).

Pour autant, dans notre univers globalisé, chaque évènement finit par être commenté, décortiqué analysé et critiqué. Les moyens de communication et d’information, les progrès techniques, la diffusion des connaissances rendent impossible, à terme, la dissimulation, les falsifications et la culture de mensonges historiques.

La Vérité ne dépend pas du nombre ni ne peut être imposée par lui. D’aucuns ont pu prétendre, il y a quelque temps, que la terre était plate. Ils ont même torturé ou brûlé tous ceux qui soutenaient le contraire. Tel n’est pourtant pas le cas.

Qu’Israël tienne bon : la Vérité finit toujours par éclore.
dimanche 3 janvier 2010
Boycott d'Israël: campagne pour faire radier un éminent cancérologue britannique
Source: The Jewish Chronicle (Top surgeon tells Limmud of campaign to have him struck off, par Leon Symons)

L'un des plus grands spécialistes britanniques de la chirurgie du cancer du sein a raconté la façon dont son soutien à l'Ordre des Médecins d'Israël (IMA) avait abouti à une campagne pour le faire radier de l'Ordre des Médecins britannique.

Le Professeur Michael Baum [photo] a raconté lors de la conférence annuelle du Limmud à l'Université de Warwick, que ses collègues dans la profession médicale - y compris des Juifs - s'étaient retournés contre lui après qu'il eut contesté l'accusation que l'Ordre des Médecins israélien était complice dans la torture de prisonniers palestiniens.

Son intervention était intitulée "Boycott universitaire d'Israël: est-ce que les Juifs sont parmi les pires antisémites ?"

Le professeur Baum a expliqué qu'il était intervenu "comme un innocent" en juin 2007 lorsque que le British Medical Journal l'a invité à rédiger un article à l'occasion du lancement d'un sondage sur le site Internet de la revue concernant le boycott d'Israël. Dans son article, il argumentait contre le boycott académique d'Israël. "Avec un peu de chance, quelque 2 000 personnes participent à des sondages en ligne de la revue. Dans ce cas-ci, il y eut 23.000 votants", déclara le Professeur Baum, 72 ans, qui est professeur émérite de chirurgie et professeur invité de médecine et sciences humaines à l'University College de Londres.
"Très vite, il y eut également des messages sur le site. Les vues exprimées étaient extrêmement blessantes et extrêmement grossières, sans parler du courrier haineux qui m'est parvenu à la fois par e-mail et par la poste. C'était aussi la première fois que dans ma vie j'étais confronté à l'antisémitisme. "

C'est alors que le professeur Baum rencontre le Dr Derek Summerfield, qui a mené une longue campagne pour faire renvoyer l'ancien président de l'IMA Dr Yoram Blachar quand celui-ci fut élu président de l'Association médicale mondiale en 2008. (Voir Boycott: campagne de diffamation contre un médecin israélien)

Une réunion fut convoquée par le Dr Summerfield à la Royal Society of Medicine à laquelle participèrent des représentants des ONG Jews for Justice for Palestinians et Physicians for Human Rights Israel. Des accusations furent à nouveau portées à l'encontre de l'IMA et qui visaient le Dr Blachar personnellement.

Le Professeur Baum a indiqué que les attaques personnelles contre lui ont culminé lorsqu'une lettre fut publiée sur le site du British Medical Journal - invoquant le nom du médecin nazi Josef Mengele, qui a effectué des expériences horribles sur les Juifs pendant l'Holocauste - et qui l'accusait de soutenir des médecins israéliens. On disait qu'il devait avoir honte de lui-même et que le GMC devait révoquer son permis d'exercer la médecine. "Ceci a été écrit par un Juif", dit-il.

"C'est alors que débuta la campagne pour me faire radier - la pire ignominie à laquelle on peut soumettre un médecin. Ils ont recueilli des signatures et essayé de m'accuser de complicité avec les pratiques de l'IMA. Toute tentative visant à me défendre ne faisait que susciter de nouveaux arguments anti-israéliens et antisémites. "

Le chirurgien est alors allé demander de l'aide après du Community Security Trust, parce qu'il avait des craintes pour sa sécurité et celle de sa famille. Il a avoué à l'auditoire qu'il avait fondu en larmes lors d'une rencontre privée avec l'ambassadeur israélien Ron Prosor.

Lui et un collègue, le professeur David Katz, ont décidé d'essayer de trouver la raison qui poussait des Israéliens à attaquer des Israéliens et organisa une rencontre entre l'AMI et Physicians for Human Rights Israel. Au cours de la réunion qui eut lieu en décembre en Israël, le Dr Blachar a plaidé pour que le PHRI cesse ses attaques à la fois par l'intermédiaire du British Medical Journal et The Lancet, l'autre revue médicale importante.
Les deux Britanniques crurent qu'un terrain d'entente avait été trouvéet que les attaques contre l'IMA allaient cesser, mais à peine cinq jours plus tard l'ONG PHRI récidivait, déclara le Professeur Baum.

En février le British Medical Journal et The Lancet consacraient des édition spéciales à la critique d'Israël à l'occasion de "la semaine d'apartheid Israël".
Un imam serait lié aux attentats de Fort Hood et du vol Amsterdam-Detroit, selon un conseiller d'Obama

AFP
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L'imam Anwar al-Aulaqi serait lié à la fusillade de la base militaire américaine de Fort Hood en novembre ainsi qu'à l'attentat raté contre le vol Amsterdam-Detroit du 25 décembre, a indiqué dimanche le conseiller anti-terroriste du président Barack Obama. Anwar al-Aulaqi, un prédicateur musulman né aux Etats-Unis mais qui vit aujourd'hui au Yémen, "nous pose problème. Il essaie de fomenter des actes terroristes" a déclaré à la chaîne de télévision CNN ce conseiller, John Brennan. "Selon certains éléments, Aulaqi a été en contact direct avec (Abdul Farouk) Abdulmutallab", le Nigérian poursuivi pour avoir voulu faire sauter le vol 253 de la compagnie américaine Northwest Airlines, a-t-il ajouté, confirmant des informations de presse.

Le nom de l'imam Anwar al-Aulaqi a déjà été cité dans la fusillade qui a fait 13 morts et 42 blessés le 5 novembre à Fort Hood (Texas, sud), la plus grande base de l'armée américaine. Le tireur, le psychiatre militaire Nidal Hasan, avait évoqué en 2008 le meurtre d'Américains avec l'imam, a raconté récemment ce dernier à la presse, soulignant qu'ils se connaissaient depuis neuf ans. "Mon avis est que le major Hasan a réalisé tout seul cet attentat" mais qu'"il a été inspiré par le genre de discours de personnes comme Aulaqi", a ajouté le conseiller présidentiel. John Brennan a toutefois refusé de qualifier la fusillade de Fort Hood d'attentat terroriste. "Nous continuons à enquêter là-dessus", a-t-il précisé.
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Carrefour porte plainte contre les antisémites pro-palestiniens

Rédigé par JSS le Jan 6th, 2010 and filed under France, Occident. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article

La grande distribution s’organise contre ces trublions pro-palestiniens qui par leurs antisionisme, montrent leur anti-judaïsme primaire. C’est le cas d’Arnaud Sakina, une jeune femme très active dans le soutient au terrorisme du Hamas et du Fatah.

Sakina Arnaud, militante pro-palestinienne anti-juive et antisémite est poursuivie en justice à Bordeaux pour avoir mené des actions de boycott dans le magasin Carrefour de sa région. Lequel magasin l’attaque pour avoir collé des autocollants qui prônant l’apartheid palestinien (autorisant les arabes à vivre en Israël mais prônant l’interdiction des juifs à vivre dans les territoires disputés) à l’intérieur du supermarché.
Une opération antisémite dans un Carrefour (Bondy)

Une opération antisémite dans un Carrefour (Bondy)

Cette plainte pour “dégradation” a été requalifiée par le parquet, en “incitation à la haine raciale“, en raison d’une “discrimination à l’encontre d’un pays“. Ceci à la demande du Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, de son Président Samy Ghozlan, et du brillant avocat Gilles William Goldnadel, qui se sont portés parties civiles.

Le procès de Sakina Arnaud aura lieu la semaine prochaine, le mercredi 13 janvier à 14 H au Palais de Justice de Bordeaux. Ce procès est d’autant plus important que c’est le premier du genre. Tous les combattants des droits de l’homme doivent soutenir la justice française face à ce nouvel antisémitisme. JSSNews appel toutes les personnes de la région à venir soutenir Carrefour dans ce combat contre les antisémites de tous bords.

A noté que Sakina Arnaud était la semaine dernière en Egypte pour soutenir les terroristes du Hamas et leurs missiles envoyés aveuglément contre les enfants d’Israël. C’est un procès de soutient au terrorisme qui devrait plutôt avoir lieu à Bordeaux!
La communauté juive grecque a protesté aujourd'hui contre un incendie criminel qui a provoqué des dégâts matériels à la synagogue de La Canée en Crète (sud), réclamant des mesures pour éliminer "des phénomènes similaires d'antisémitisme".

Selon la police de La Canée, des inconnus sont entrés dans la nuit de lundi à mardi dernier dans la cour de la synagogue et ont provoqué un incendie. Grâce à l'intervention rapide des pompiers, les dégâts ont été limités, a-t-on appris auprès d'une source policière locale.

"Nous sommes convaincus que le gouvernement va dénoncer cet acte indigne et adoptera toute mesure nécessaire pour l'arrestation des auteurs" du sinistre, a indiqué dans un communiqué la communauté juive grecque.

De son côté, le directeur de la synagogue visée, Nikos Hanaan Stavroulakis, a mis en garde dans un quotidien crétois contre les actes racistes, visant notamment les immigrés, qui se sont multipliés ces derniers mois à La Canée.

Des actes de vandalisme visent sporadiquement des cimetières et batiments juifs en Grèce, dont la communauté ne compte plus que quelques milliers de personnes, après son extermination à plus de 80% par les nazis.

En juin dernier, des inconnus avaient profané le cimetière juif d'Ioannina, dans le nord-ouest du pays.
RACOVIE - Un ressortissant suédois est soupçonné d'avoir commandité le vol en décembre dernier du panneau "Arbeit Macht Frei" ("Le travail rend libre") surmontant l'entrée principale de l'ancien camp de concentration d'Auschwitz, a déclaré mercredi le procureur de Cracovie Artur Wrona.

Selon le magistrat, le suspect a visité le site avec deux Polonais au printemps dernier, leur demandant alors de dérober le panneau de cinq mètres. Le procureur n'a pas confirmé des informations de presse faisant état d'un vol d'inspiration néo-nazie. Le mobile du suspect n'a pas été déterminé, a-t-il dit.

Les deux Polonais, d'après les enquêteurs, ont reconnu le vol commis le 18 décembre avec l'aide de trois autres personnes qui ont aussi admis leur participation aux faits. Les cinq prévenus sont toujours en détention à Cracovie (sud de la Pologne). Le magistrat n'a pas précisé où se trouvait le suspect suédois ni divulgué son identité.

Le procureur de Cracovie a ajouté que l'inscription, qui a été endommagée, pourrait être restituée avant le 65e anniversaire de la libération d'Auschwitz, le 27 janvier.
Cliquez pour agrandir

Un maire du Calvados tient au portrait de Pétain dans la salle des mariages
Le maire de Gonneville-sur-Mer (Calvados) refuse de retirer un portrait du maréchal Pétain affiché de la salle des mariages de l’hôtel de ville, malgré la demande en ce sens de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (Licra).
Pour la Licra, l’élu refuse de retirer le portrait « sous le prétexte fallacieux d’une galerie de portraits de chefs de l’Etat. Cela s’appelle du révisionnisme historique. L’Etat et la République, ce n’est pas la même chose. Je ne connais pas une mairie de France qui affiche un portrait de Pétain », déclare le secrétaire général de la Licra, Richard Séréro. « Cela porte atteinte au respect de la mémoire des victimes et de leurs familles, qui ont eu à souffrir de décisions politiques prises par Philippe Pétain », ajoute la Licra dans un communiqué dénonçant une « réhabilitation » du Maréchal. « Nous venons d’écrire au préfet pour qu’il mette fin à ce trouble à l’ordre public », ajoute M. Séréro.


Depuis des décennies

De son côté, le maire SE de Gonneville-sur-mer, Bernard Hoyé, répond : « Pétain apparaît dans une galerie de portraits des chefs de l’Etat français, qu’il soit controversé ou pas, je ne suis pas historien, je n’ai pas à prendre parti, contrairement à la Licra qui n’est pas objective », dit-il. Le portrait est présent depuis des décennies à la mairie, affirme M. Hoyé, maire depuis 2008. Par ailleurs, il indique qu’il n’est pas membre de l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP), qui milite pour la révision du procès de Pétain, et qu’il est « évident » qu’il ne conteste pas la Shoah. A la question de savoir s’il contestait le fait que le maréchal Pétain avait collaboré avec l’Allemagne nazie et sa politique d’extermination des Juifs, M. Hoyé a répondu : « Pétain a été condamné. On ne peut pas remettre en cause une décision de justice. »

Des propos qui se veulent mesurés, mais qui tranchent avec ceux de Jacques Chirac, alors président de la République, qui, le 16 juillet 1995, lors des commémorations de la rafle du Vél d’Hiv, avait déclaré : « Ces moments, il est difficile de les évoquer, parce que l’on ne sait pas toujours trouver les mots justes pour rappeler l’horreur, pour dire le chagrin de celles et ceux qui ont vécu la tragédie. Celles et ceux qui sont marqués à jamais dans leur âme et dans leur chair par le souvenir de ces journées de larmes et de honte. Il est difficile de les évoquer, aussi, parce que ces heures noires souillent à jamais notre histoire et sont une injure à notre passé et à nos traditions. » Et Jacques Chirac de marteler : « Oui, la folie criminelle de l’occupant a été secondée par des Français, par l’Etat français. » Pétain n’était pas simplement un « chef d’Etat controversé ».
rance : expulsion d’un Imam antisémite

[Vendredi 08/01/2010 11:36]

L’Imam d’origine égyptienne Ibrahim Al-Soudani a été expulsé hors du territoire français pour avoir prononcé des prêches antisémites et appelé à la violence contre l’Occident. Al-Soudani « officiait » dans des mosquées de Paris et de la banlieue, et selon les services du ministère de l’Intérieur, « il était surveillé depuis 2008 ». Le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, a fait la déclaration suivante : « Al-Soudani a exprimé à maintes reprises son mépris pour nos valeurs. La République respecte la liberté d’expression, mais quiconque appelle à la violence n’a pas sa place sur notre territoire… ». Une déclaration ferme et une décision bienvenue, qu’il conviendrait de mettre en parallèle avec celle du Conseiller juridique du gouvernement israélien de ne pas donner suite aux propos incendiaires et antisémites du député arabe Jamal Zahalka…

par Shraga Blum